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The moment when the baby is saved. A policeman has a baby that was almost suffocated to life saved. A photo of the moment when his agent lifesaving operation is performed, the world is about. While agent Donald Venable in his car driving in the United States Monte Vista Drive, he hears a message on the radio. A baby has great difficulty breathing; needs help quickly to. The baby is two blocks away from Venable agent, writes the Sunland Park Police Department on Facebook. The agent did not hesitate and go to the address where the baby is due. Gasping When Venable arrives, he sees how the six-week-old baby gasping for air. The agent picks up the child and keep it in the football position: facing down. Then he gently strikes a couple of times on the back of the child. The boy begins thereby causing the mucus falls from the trachea of the child. Modest The breathing of the child comes back on track. Another agent takes a picture of Venable while saving the baby's life. The photo will be posted on Facebook by the police and has since been shared hundreds of times. American media pick up the message massively on. The agent is modest under his deed: "Anyone would have done the same." His boss is less modest: "This is a heroic act."
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Chevrolet (prononcé en anglais : [ʃɛvrəˈleɪ]), surnommée « Chevy », est une marque d’automobile américaine qui est devenue une division de la compagnie américaine General Motors (GM) en mai 1918. Avec 4,95 millions de véhicules vendus à travers le monde en 20121, Chevrolet occupa le quatrième rang mondial parmi les marques automobiles derrière Volkswagen, Ford et le japonais Toyota. Elle se retire du marché européen à la fin de l'année 2015 au profit d'Opel, une autre division du groupe General Motors. Le fondateur de la marque, Louis Chevrolet, était un champion de courses cyclistes et pilote de course automobile, né le 25 décembre 1878 à La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel, en Suisse. Il fut le contremaître de Raoul Perpère, fondateur des voitures Perpère-Darracq qui devinrent Talbot par la suite. Raoul Perpère décida de financer et d'installer Louis Chevrolet au Canada afin de produire et de distribuer les voitures Perpère-Darracq sur le continent Américain. Décision fut prise de nommer cette production "Chevrolet" par la suite. L’autre fondateur, William C. Durant, avait fondé General Motors quelques années auparavant et racheta la participation de Raoul Perpère. Louis Chevrolet avait obtenu beaucoup de succès en tant que pilote de courses aux États-Unis. Ses exploits l'avaient rendu célèbre, ce qui lui permit d’obtenir les fonds nécessaires afin de créer sa propre marque de voitures. Avant de créer sa marque, Louis Chevrolet, formé en qualité de contremaître chez le constructeur Raoul Perpère (voitures Perpère-Darracq) dans le sud-ouest de la France (Bayonne), avait été mécanicien et pilote pour Fiat et Buick à New York. C’est cependant un événement à la tête de General Motors qui fut à l'origine de la création. Le président et fondateur de GM, William Crapo Durant, avait été évincé de son siège à la suite de problèmes financiers tout en demeurant membre du conseil d’administration. Comme il connaissait Louis Chevrolet, l’ayant engagé pour sa division Buick, William C. Durant le contacta afin de l’aider à réaliser une voiture de tourisme, et surtout dans le but d’utiliser son nom qui était déjà réputé aux États-Unis. William C. Durant, brillant homme d’affaires, voulait prendre sa revanche contre General Motors. William C. Durant et Louis Chevrolet s'installèrent donc dans un garage à Détroit (Michigan), et Chevrolet eut comme rôle de construire un prototype pour une voiture de tourisme qui porterait leurs noms. Louis Chevrolet reçut l’aide de l’ingénieur français Étienne Planche, de l’ingénieur américain John Trumbull et du carrossier Franck Monroe. Ils ont tout d’abord conçu deux moteurs, un moteur de quatre cylindres et un de six cylindres. William C. Durant avait alors choisi le six cylindres pour équiper ses nouvelles voitures. Le 30 mai 1911, l’annonce était faite qu’une usine de la compagnie Durant-Chevrolet allait être construite. Quelque temps plus tard, en novembre 1911, le nom de la compagnie changea pour Chevrolet Motor Company of Michigan, date à laquelle les quatre premiers prototypes furent présentés au public. La Chevrolet Classic Six 1911 fut le premier véhicule Chevrolet à être vendu. Il coûtait 2 150 $, soit beaucoup plus que la Ford T à 850 $. William C. Durant contrôlait la compagnie Chevrolet. Louis Chevrolet et lui étaient souvent d’avis contraire sur plusieurs points. Par exemple, Louis Chevrolet fit un voyage en France en 1913, et William C. Durant profita de l’occasion pour transférer l’usine de Détroit à Flint, au Michigan. Le but de ce déménagement était de fusionner Chevrolet avec la compagnie Little (que William C. Durant avait aussi créée), que Louis Chevrolet détestait. La fusion fut faite et la compagnie devint Little-Chevrolet. Il y avait aussi des litiges sur la conception des nouveaux modèles. Il a aussi été dit que William C. Durant ne supportait pas la tenue négligée de Louis Chevrolet et le fait qu’il fumait la cigarette, alors que les gens de sa classe se devaient de fumer le cigare. Dès son retour de France en décembre 1913, Louis Chevrolet quitta l’entreprise qu’il avait aidé à fonder deux ans plus tôt, et comme le contrat qui avait été signé à la création de l’entreprise prévoyait que si Louis Chevrolet quittait, il devait laisser à Durant son nom et ses voitures, Louis Chevrolet partit les mains vides, ce qui le priva quelques années plus tard d’une incroyable fortune. Louis Chevrolet parti, William C. Durant fusionne toutes ses firmes avec Little-Chevrolet et augmente son capital de 3 millions de dollars. En 1915, la Chevrolet 490 (pour son prix, 490 dollars) concurrence la Ford T et multiplie ses ventes par neuf en deux ans, passant de 13 500 à 111 500 entre 1915 et 1917. Devenu un géant de l’automobile américaine, Chevrolet finance le gigantesque raid boursier sur General Motors. En avril 1916, l'usine de Flint (Michigan) est agrandie, pour un million de dollars. La capacité de production passe à 200 voitures par jour3. La démolition de la vieille usine Buick et l'intégration du motoriste Mason permettent de moderniser le groupe. En 1917, William C. Durant échange ses actions Chevrolet contre des actions General Motors et en mai 1918, Chevrolet devient une division de GM, en conservant une grande autonomie. La crise économique de 1920 minant l'action GM, William C. Durant est évincé définitivement de la présidence. En décembre 2013, General Motors annonce le retrait de Chevrolet du marché européen à la fin de l'année 20152(à l'exception des Camaro et Corvettequi seront distribuées par le réseau Cadillac). La garantie des véhicules récents sera assurée par les concessionnaires Opel, et la distribution des pièces détachées assurée pour au moins dix ans. À la suite de cette décision, le Conseil national des professions automobiles intente un procès à l'encontre de General Motors pour non-respect des termes d'un contrat devant le tribunal de commerce de Paris. Le tribunal a rendu sa décision en mars 2015 et condamne General Motors à verser 8 millions d'euros aux 12 plaignants. General Motors a interjeté appel. La marque étant établie depuis longtemps, le logo Chevrolet est reconnu par tout le monde en Amérique du Nord. Le logo de Chevrolet, connu comme étant le « bowtie » (en français, « nœud papillon ») est apparu en 1913 sur les véhicules de la marque. Il y a plusieurs théories quant à son origine. La théorie la plus po[CENSORED]ire est que William C. Durant aurait visité un hôtel à Paris en 1908 et qu’il aurait vu une forme semblable au logo actuel sur du papier-peint. Il aurait alors déchiré une partie du papier-peint et l’aurait amené avec lui aux États-Unis, où il aurait dit à des amis que ça ferait une belle plaque pour mettre un nom de marque de voiture. Une autre version, celle de la fille de William C. Durant, dit que Durant dessinait souvent des plaques pour ses voitures sur des bouts de papier pendant le souper. Ce serait entre la soupe et le poulet frit qu’il aurait dessiné le logo de Chevrolet. Une autre version, cette fois-ci provenant de la femme de William C. Durant, dit que c’est lorsqu’ils étaient en vacances en Virginie que Durant aurait vu le logo dans un journal, et qu’il aurait dit à sa femme que ça ferait un bel emblème pour les voitures Chevrolet. Cependant sa femme ne se souvenait pas comment était utilisé le logo dans le journal. Une autre version également très probable, ce serait que le logo soit en fait une sorte de croix suisse puisque l'un des fondateurs (Louis Chevrolet) est d'origine suisse. Finalement, une entreprise qui vendait des briquettes de charbon avait fait une publicité en 1911 où son logo ressemblait étrangement à celui de Chevrolet, mais avec le mot Coalettes écrit dans le nœud papillon. Il est possible que William C. Durant ait copié ce logo. En 2005, Chevrolet était la marque de véhicule la plus vendue aux États-Unis et au Canada. Les véhicules Chevrolet sont disponibles dans la plupart des régions du monde et depuis 2005, avec l’acquisition de Daewoo par General Motors quelques années auparavant, Chevrolet est présent en Europe, puisque les véhicules GM Daewoo y sont maintenant vendus sous la marque Chevrolet. Des modèles conçus ou produits par GM Daewoo sont aussi vendus en Amérique du Nord sous la marque Chevrolet (actuellement la Chevrolet Spark et la Cruze, ou les Chevrolet Optra et Epica au Canada par le passé). En dehors de l’Amérique du Nord, Chevrolet vend aussi des véhicules produits par des filiales de GM ou des partenaires commerciaux, comme les Opel, Holden, Subaru, Avto-Vaz (Lada), Daewoo, etc. En 1989 aux États-Unis, General Motors décida de concurrencer les petits véhicules asiatiques en rebadgeant des modèles Suzuki, Isuzu et Opel sous les marques Geo et Asüna. Les Geo firent leur apparition au Canada en 1992. Les Asüna étaient vendus chez les concessionnaires Pontiac (qui vendaient aussi les Buick et GMC) alors que les Geo étaient vendus chez les concessionnaires Chevrolet (qui vendaient aussi les Oldsmobile). Le modèle le plus po[CENSORED]ire fut la Geo Metro, une Suzuki Swift dans les faits, et le Geo Tracker, un Suzuki Sidekick (nommé aussi Escudo au Japon et Vitara en Europe). La marque ne connut pas le succès espéré et en 1997 ce fut la fin pour Geo. Certains véhicules Geo sont devenus des Chevrolet (comme le Chevrolet Metro et le Chevrolet Tracker) mais aujourd’hui il n’en existe plus. Aujourd’hui, la Suzuki Swift+ est une Chevrolet Aveo (nommée Kalos en Europe) rebadgée Suzuki. Le constructeur automobile américain General Motors (GM) a décidé de mettre fin, le 5 décembre 2013, à la concurrence entre ses marques sur le marché européen, en retirant Chevrolet pour laisser le champ libre à sa filiale allemande Opel, à compter de début 2016. Chevrolet a vendu plusieurs modèles de véhicules, mais certains d’entre eux sont restés dans l’imaginaire des gens plus que d’autres. Le premier modèle véritablement po[CENSORED]ire fut le Chevrolet 490. Les années passèrent et les gens eurent les moyens de se payer des voitures : les années 1950 virent l’apparition de la Bel-Air, de l’Impala, alors que la Malibu (Chevelle) est apparue dans les années 1960. À ces modèles s’ajoutent les Corvair, Chevelle, Nova. La Chevrolet Cavalier est mieux connue pour ses chiffres de ventes que pour le véhicule lui-même (qui n'avait rien de particulièrement remarquable), mais tous la connaissent en Amérique du Nord. Il y a évidemment les véhicules un peu plus « musclés », comme la Chevrolet Camaro, concurrente directe de la Ford Mustang, et la Chevrolet Corvette, la voiture de course nord-américaine.
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La surcharge informationnelle, surinformation ou infobésité1 (terme francisé d'invention québécoise, issu de l'anglais, information overload) est un concept désignant l'excès d'informations reçues par une personne qu'elle ne peut traiter ou supporter sans porter préjudice à elle-même ou à son activité. Cette expression, également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous le terme de « nuage informationnel », est quelque peu différente du brouillard informationnel en temps de guerre. Bien que ce concept soit au début du xxie siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu, à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, les nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations3. Les principaux auteurs sur le sujet sont Caroline Sauvajol-Rialland en France4, David Shenk aux États-Unis (Data Smog, Surviving the Information Glut)5, Jim Stolze (L’infobésité pourrait être la prochaine épidémie)6 et Nicholas Carr (Est-ce que Google nous rend idiot ?). Ce concept peut recouvrir plusieurs concepts de surcharge : surcharge cognitive surcharge sensorielle surcharge communicationnelle surcharge de connaissances La mise en place de plages horaires de déconnexion est l'une des attitudes possibles pour lutter contre la surcharge informationnelle. Le choix de se limiter à certaines sources d'information ou de regrouper certaines actions sur une période donnée sont aussi utile pour résister à l'infobésité. La junk information (information poubelle) peut avoir comme effets néfastes des répercussions physiques, émotionnelles (stress, anxiété informationnelle) et intellectuelles (syndrome de débordement cognitif et d’épuisement professionnel, cyberdépendance, désengagement, déficit d'attention et de créativité, perte de mémoire, altération du jugement, indécision). L'infobésité peut conduire à une pathologie appelée au Japon « « hikikomori du savoir » dans laquelle l’internaute « s’engouffre dans des labyrinthes documentaires toujours plus spécialisés ». La surinformation peut être une stratégie délibérée de communication. La surinformation rend le tri et le recul analytique impossible. Elle peut être employée dans le cas d'une guerre de l'information. « Chacune et chacun d'entre nous a aujourd'hui accès par une diversité de canaux, de la radio à Internet, du téléphone portable à la télévision, à une multitude d'informations instantanées et en continu. Ce roulis ininterrompu donne le sentiment d'être toujours informé. Parfois, il assiège plus les citoyens qu'il ne les libère. Cette surinformation chasse l'information et sa hiérarchisation13. » « L'information, qui autrefois était aussi rare que le caviar, est désormais surabondante et de consommation courante, autant que les pommes de terre5. » « Nous pouvons légitimement nous demander si le travail avec les technologies de l'information et de la communication, au lieu de nous libérer - mais n'était-ce pas la promesse initiale ? -, ne nous a finalement pas fait replonger dans l'ère industrielle du travail à la chaîne14. » « Les courriels sont la cause d'une crise de production dans les entreprises… C'est le cancer silencieux des sociétéstrad 1,. »
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A new attack on immigration, a new judicial defeat. The Cortex Court of the United States stopped Friday the attempt of president Donald Trump to deny the right of asylum to all immigrants who cross the border irregularly. With this measure, Trump sought to discourage crossing outside the ports of entry and immigration in general, completely closing the door to asylum in the country. The decision of the Supreme Court showed a very divided court in which the president, the conservative magistrate John Roberts, was aligned against the White House. The measure was announced by Trump through a presidential proclamation that basically changed the asylum laws of the United States with a simple signature from the president. For the White House, no one who enters the country by a point other than an official border post has the right to seek asylum in the country. Each year, tens of thousands of people cross the southern border irregularly, surrender to border police and seek asylum in the United States. Anyone who is in the territory of the United States can ask for political asylum if he fears for his life in his country of origin, no matter how he arrived. A judge in San Francisco, Jon Tigar, accepted a complaint from the United States Civil Liberties Union (ACLU) and provisionally suspended the application of the measure nationwide on November 19, on the grounds that the president's order clashed with the federal law. The court of appeals that has jurisdiction over the West, also based in San Francisco, gave the reason to the judge. Judge Jay Bybee, appointed by President George W. Bush, wrote: "Just as we can not legislate from the bench, as we are often reminded, neither can the executive legislate from the Oval Office." That decision was appealed by the Trump Government to the Supreme Court, and that appeal is the one that was rejected this Friday, in a new judicial defeat of the president's anti-immigrant initiatives. The rejection of the Supreme Court also leaves some hints of the dynamics within a tribunal in which Donald Trump has already appointed two magistrates and who considers himself irremediably heeled to the right by the ideological profile of its members. In the decision by 5 votes to 4, the key vote was that of the president of the Supreme Court, the conservative magistrate John Roberts, who aligned himself with the bloc of magistrates appointed by Democratic presidents and therefore considered progressive. The Court did not publish a substantive argument of its decision. The other four conservative magistrates, Samuel Alito, Clarence Thomas, Neil Gorsuch and Brett Kavanaugh (these last two appointed by Trump), signed a vote of disagreement. When the San Francisco Court of Appeals, called the Ninth Circuit Court of Appeals, rejected Trump's appeal, the president became enraged and launched an unprecedented attack on that court. Without naming him, he called Judge Tigar "an Obama judge" and complained that his government systematically loses all cases in that court. The Ninth Circuit is a jurisdiction that includes California and Hawaii, whose attorneys-general routinely denounce any Trump initiative in immigration. Trump's comments provoked an unprecedented reaction from the president of the Supreme Court. Justice Roberts wrote a public letter in which he said that "there are no judges of Obama, nor judges of Trump, nor judges of Bush or Clinton." "Judicial independence is something we should all be grateful for," Roberts said in a public nod to the president. Trump reaffirmed his criticisms in a tweet. This Friday, Roberts issued the key vote in the last chapter of that same case.
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Iqra Aziz (born 24 November 1997) is a Pakistani television actress. She has played a role of Jiya in Momina Duraid's Suno Chanda (2018) for which she receives critical acclaim and Best Actress nomination at Lux Style Awards. She has received two Hum Awards for her work in Urdu television. Aziz first auditioned as a television commercial model and was picked by Citrus Talent Agency. She made her acting debut with a supporting role in Kissey Apna Kahein (2014) and had her first leading role with the 2015 romantic series Muqaddas. Subsequently she is known for her leading roles in Deewana (2016), Laaj (2016), Socha Na Tha (2016), Choti Si Zindagi (2016), Natak (2016), Gustakh Ishq (2017), Ghairat (2017), Qurban (2018), Suno Chanda (2018), Tabeer (2018) and Ranjha Ranjha Kardi (2018).Aziz was born on 24 November 1997 into a Sindhi family to Abdul Aziz and Aasiya Aziz. She belongs to a family of 3 - her mother, herself and her elder sister Sidra Aziz.She lost her father at a very young age and was raised by her mother. She mentioned in interviews about her mother's struggles being a single parent. According to her, it was very difficult for them to meet the day to day financial needs. Her mother is credited to be first female Careem driver in Karachi. Aziz resides in Karachi along with her mother.She has an uncompleted Bachelors of Commerce degree from University of Karachi, and she wishes to complete it as soon as she gets a break from acting and modelling.
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Libya is a North African country along the Mediterranean Sea. It is bordered by Egypt to the east, Sudan to the southeast, Chad and Niger to the south, and Algeria and Tunisia to the west. The Libyan culture is a blend of many influences, due to its exposure to many historical eras. Its culture involves roots in Berber, African, Turkish and Arab cultures.Libya was also an Italian colony for about three decades, which had a great impact on the culture. Libya has managed to keep its traditional folk culture alive to today. Most Libyans are Berber and Arab, and 96.6% are Muslim Sunnis. Languages spoken in Libya include Arabic, Berber, Italian and English. 90% of the country is desert and that is the reason that only 10% of Libya’s po[CENSORED]tion lives outside the coastline region. Flag: In February 2011, when the Libyan revolution took place, the national Transition Council reintroduced the old flag used by the kingdom prior to Gaddafi’s military coup in 1969.The flag consists of three colors, red, black and green, which represent the three major regions of the country, red for Fezzan, Black for Cyrenaica and green for Tripolitania; the crescent and star represent the main religion of Libya, Islam. Libyan literature has its roots in antiquity, but contemporary writing from Libya draws on a variety of influences. Libyan poet Khaled Mattawa remarks: "Against claims that Libya has a limited body of literature, classicists may be quick to note that ancient Greek lyric poet Callimachus and the exquisite prose stylist Sinesius were Libyan. But students of Libyan history and literature will note that a vast time gap between those ancient luminaries and the writers of today. [...] Libya has historically made a limited contribution to Arabian literature". The Arab Renaissance (Al-Nahda) of the late 19th and early 20th centuries did not reach Libya as early as other Arab lands, and Libyans contributed little to its initial development. However, Libya at this time developed its own literary tradition, centred on oral poetry, much of which expressed the suffering brought about by the Italian colonial period. Libyan literature began to bloom in the late 1960s, with the writings of Sadeq al-Neihum, Khalifa al-Fakhri, Khamel al-Maghur (prose), Muhammad al-Shaltami, and Ali al-Regeie(poetry). Many Libyan writers of the 1960s adhered to nationalist, socialist, and generally progressive views. In 1969, a military coup brought Muammar al-Gaddafi to power. In the mid-1970s, the new government set up a single publishing house, and authors were required to write in support of the authorities. Those who refused were imprisoned, emigrated, or ceased writing. Censorship laws were loosened, but not abolished in the early 1990s, resulting in a literary renewal. Some measure of dissent began to be expressed in Libyan literature, but books remained censored and self-censored to a significant extent. With the overthrow of Gaddafi's government in the Libyan Civil War, literary censorship was abolished, and Article 14 of the interim constitution guarantees "liberty of the press, publication and mass media". Contemporary Libyan literature is influenced by "local lore, North African and Eastern Mediterranean Arabian literatures, and world literature at large" (K. Mattawa). Émigré writers have also contributed significantly to Libyan literature, and include Ibrahim Al-Kouni, Ahmad Al-Faqih, and Sadeq al-Neihum. Cuisine[edit] Main article: Libyan cuisine Libyan dishes borrow from the Arabic, Mediterranean and Italian cultures that met in the area.Olives, palm oil, dates, unleavened bread, and stuffed sweet peppers appear frequently in meals. Libyans do not consume any type of pork and all meats must be halal (killed humanely and prayed over according to Muslim customs). Attention to detail in Libyan cooking is very important; in fact, many spices are used in all the dishes and they need to be put in by the right amounts to enrich the taste. The Libyan diet is rich with seafood and includes a diversity of vegetables and cereals. Meals are of great symbolic importance in the Libyan culture and the biggest meal of the day is lunch. Shops and businesses close for a couple of hours in the afternoon to allow families to gather together and eat.Meals usually end with fruit or melon (Libya is known to have excellent fruit crops). They also drink green tea after meals to help aid digestion. Libyans love tea and coffee, and families usually gather together for their afternoon tea/coffee and catch up on the daily gossip. Libyan tea is known with it thick consistency.The Libyan tea is like black syrup, very strong. To follow tradition, the tea is usually first poured into a mug and then into another then back to the original mug, back and forth for a few minutes then poured from a high distance to the glass to form ‘ragwwa’ or foam. Libyan soup is a very fmous dish throughout Libya and is often presented as a starter. It is considered to be an important dish in Ramadan, where people usually break their fast with soup (after having a glass of milk and a couple of dates). It is a thick highly spiced soup, known simply as Shorba Arabiya, or "Arabian soup". It contains many of the ingredients from many other Libyan dishes, including onions, tomatoes, meat (chicken or lamb), chili peppers, cayenne pepper, saffron, chickpeas, mint, cilantro, and parsley.Bazeen is also a very recognizable Libyan food. It is made of a mixture of barley flour, with a little plain flour. The flour is boiled in salted water to make a hard dough, then it kneaded into a semi-spherical ball and placed in the middle of a large bowl (women sit on the floor and hold the pan between their legs while using a wooden ladle to mix and kneed the dough to its solid and thick consistency), around which the sauce is poured. The sauce around the dough is made by frying chopped onions with lamb meat, adding turmeric, salt, cayenne pepper, black pepper, fenugreek, sweet paprika, and tomato paste. Potatoes can also be added. Finally, eggs are boiled and arranged around the dome. The dish is then served with a well-known Libyan salad/complement of pickled carrots, cucumber and chili peppers, known as amasyar.[4] Another type of Bazzin is called ‘Aish’ or ‘Aseeda’ which basically follows the same concept of the Bazzin except it is made with pure white flour, has a smoother and softer texture and is eaten sweet by adding honey, date syrup or on some occasions powdered sugar. Aish is normally eaten as breakfast or in special occasion, like a baby born or ‘Maylood’, (Mohammed’s birthdate). One of the most po[CENSORED]r meals in the Libyan cuisine, which is also a Libyan specialty, since it is not found anywhere else, is batata mubattana (filled potato). It consists of fried potato pieces filled with spiced minced meat and covered with egg and breadcrumbs. Some other po[CENSORED]r dishes in Libya include a diversity of pasta, which are one of Italy’s lasting influences and couscous, which is widely po[CENSORED]r across the North African region. All alcohol is banned in Libya, in accordance with Sharia, the religious laws of Islam. Bottled mineral water is widely consumed, as well as various soft drinks, such as Coca-Cola. Libyan Traditional Dress[edit] Nowadays, in modern Libya, people no longer wear the traditional dress very often, especially women, except the elderly Libyans, who still comply with traditions. The normal dress includes international modernized fashion that has spread out from the Western World. Women in Libya dress modestly and most of them wear the Hijab (Islam women choose whether or not to wear this.) The traditional dress is now limited to special occasions; men wear it more often. In fact, it is po[CENSORED]rly worn for Friday prayers, Eid (Islamic holiday) and weddings. Although the outfit slightly differs from one area to another, Libyan men’s clothes tend to be similar across entire Libya. It consists of a long white shirt ‘Jalabiya’or ‘Qamis’, long trousers ‘Sirwal’ and a vest called ‘Sadriya’ that is usually heavily knit with black silk and has buttons on its front. Men also wear a headdress called a ‘Shashiyah’ that is usually red or black. Men in Tripolitania prefer wearing the black Shashiyah while the men in Cyrenaica wear both. Libyan men also wear a tight, knitted, white cap underneath the Shashiyah for when they are indoors. A large outer cloak known as ‘Jarid’ is worn on top and wrapped around the body in a Roman-toga way, except in Libya, the Jarid is usually tied at the right shoulder and the remainder is brought around up over the head. Libyan men wear leather boots, usually with a heel for riding horses, leather sandals or slippers. As for Libyan women, the traditional outfit differs slightly from one region to another; however, the general outfit consists of a blouse with baggy sleeves that are embroidered with beads and silver/gold thread and baggy silk trousers that have an elastic band at the bottom. On top of that, women wear brightly colored cloths are made into dresses like togas and held together by silver brooches. Women in the rural areas use heavy woven rug-like cloths due to the climate. The head is covered using a colorful cloth embellished with colorful pom-poms. Libyan women wear large pieces of gold or silver jewelry. The neckwear usually goes down to the knees and the bracelets are 4–6 inches wide. The large silver brooches used to attach the cloth are now replaced with gold and are usually decorated with a “Khamaisah”, a hand shaped symbol, or other charms that are believed to keep the evil eye off. Women only wear the full outfit with the jewelry in special occasions and weddings. It is traditional for the groom to give the outfit with the gold to his bride at their wedding and for the bride to wear it the day after. The women’s traditional outfit is very expensive, but the prices vary depending on the quality and weight of gold or silver.
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Down a long and echoing corridor, inside a bland meeting room, I am having colourful wires attached to my body. A computer screen in front of me asks me to press the space bar every time I feel my own heart beat inside my chest. The pads sticking to my chest and lower back feed my heart’s true rhythms to another computer, monitored by two neuroscience students. Every so often, my computer pauses to ask me how accurate I think my own estimates are. I close my eyes and attempt to tunnel my concentration inside my body. The trouble is… I cannot feel a thing. I may as well be one of the living dead. My results, when they arrive, are predictably dismal. “Effectively, in every period in which you...
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L’appellation po[CENSORED]ire automobile, même si ce terme qualifie tout objet apte a se mouvoir par lui mème1,N 1 ou, plus précisément, une voiture automobile (l'abréviation po[CENSORED]ire en « voiture » est assez courante bien que ce terme puisse désigner de nombreux types de véhicules qui ne sont pas tous motorisés2) est un « véhicule automobile à roues propulséN 2 par un moteur et destiné au transport terrestre de personnes, de leurs bagages et de petits objets3 ». L'automobile est par ailleurs une industrie mondiale et un secteur économique important pour les pays possédant des constructeurs. Le terme « automobile » est à l'origine un adjectif issu de la concaténation d'un préfixe grec, αὐτός (soi-même), et d'un suffixe latin, mobilis (mobile). Il a été créé lors de l'invention des premières « voitures sans chevaux » car elles étaient munies d'un moteur avec source d'énergie embarquée alors que les autres « voitures », diligences, calèches, carrioles, chariots et autres véhicules terrestres étaient mus par des animaux de trait (généralement des chevaux (hippomobiles) ou des bœufs). Le substantif « automobile » est attesté vers 1890, mais son genre, aujourd'hui seulement féminin, est longtemps resté pour les linguistes un sujet ouvert4. L'Académie française s'est prononcée dès 1901 pour le genre féminin5, mais la polémique ne s'est éteinte que bien après, le masculin étant attesté ponctuellement jusqu'en 19444. Le terme très majoritairement utilisé en France pour désigner une automobile est « voiture », nettement plus rarement « auto ». Quasiment jamais « automobile » qui apparaît comme désuet. En raison de sa large diffusion, et de son usage dans les milieux les plus variés, l'automobile est aujourd'hui appelée par de nombreux noms, familiers ou argotiques comme auto, bagnole, tacot ainsi que caisse, tire, guimbarde, chignole, charrette en Europe ainsi que minoune en Amérique du Nord francophone. À noter que char est un terme utilisé en français canadien6 et que ce n'est pas un anglicisme. L'automobile est un moyen de transport privé parmi les plus répandus. Sa capacité est généralement de deux à cinq personnes, mais peut varier de une à neuf places. L'usage limite l'emploi du terme automobile aux véhicules possédant quatre roues, de dimensions inférieures à celle des autobus et des camions, mais englobe parfois les camionnettes. Bien qu'étant des « véhicules automobiles », les motocyclettes ne sont pas habituellement classées dans cette catégorie.
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Lifestyles of the Rich and Famous is an American television series that aired in syndication from 1984 to 1995.The show featured the extravagant lifestyles of wealthy entertainers, athletes and business moguls. It was hosted by Robin Leach for the majority of its run. When Leach was joined by Shari Belafonte in 1994, the show was renamed Lifestyles with Robin Leach and Shari Belafonte. Leach ended each episode with a wish for his viewers that became his signature catchphrase, "champagne wishes and caviar dreams." The theme song, titled "Come With Me Now" and performed by Bill Conti, is from a 1979 film called Five Days from Home. Lifestyles was one of the first shows to feature the lives of the wealthy. Later shows such as VH1's The Fabulous Life Of...continued this trend. The show was largely intended to be an insight into the opulent residences and the glamorous lifestyles of those it profiled. However, many of the geographic areas it covered were ideal destinations for vacations, and in his on-camera appearances, Leach indirectly made references to resorts and tourist attractions. David Greenspan (aka David Perry), who was the voice-over narrator for most of the segments during the bulk of the show's run and could be heard whenever Leach did not appear on camera, made more direct references to such resorts and such tourist attractions during his tenure as the show's voice-over narrator. Lifestyles was created by Alfred M. "Al" Masini, who had also created Solid Gold, Entertainment Tonight, and Star Search;all of these were part of his Operation Prime Time project, which he later renamed Television Program Enterprises and later merged with Rysher Entertainment to form Rysher TPE, though Solid Gold or Entertainment Tonight were never syndicated by TPE or Rysher but all 4 are now owned by CBS Television Distribution. Lifestyles had two companion spinoff series, Runaway with the Rich and Famous, also hosted by Leach. The series also aired in first-run syndication, from 1986 to 1994. There was also Fame, Fortune and Romance broadcast on ABC from 1986 to 1987. In 2013, the Style network was originally going to reboot Lifestyles of The Rich and Famous but did not move forward when the network was later rebranded as the Esquire Network. In 2014, a source said that a new version of Lifestyle would be remade for NBChosted by Nick Cannon unlike the original, this version was going to be mostly focused Cannon's point of view as well as feature profiles of the mega-rich. This version would also feature tech billionaires who are quickly becoming the new face of wealth it was also said that philanthropic efforts would also be covered. According to Cannon, he said that "Robin Leach passed the torch to me, now I'm producing and hosting the new Lifestyles of the Rich and Famous"; he also said "You know what? I think rich and famous people take themselves too seriously, I'm gonna be just like I am on this show [America's Got Talent]. I'll be like, What the hell? Gold toilet seats? Let's pop bottles". The idea was scrapped later on.
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Telecommunication is the transmission of signs, signals, messages, words, writings, images and sounds or information of any nature by wire, radio, optical or other electromagnetic systems.Telecommunication occurs when the exchange of information between communication participants includes the use of technology. It is transmitted either electrically over physical media, such as cables, or via electromagnetic radiation. Such transmission paths are often divided into communication channels which afford the advantages of multiplexing. Since the Latin term communicatio is considered the social process of information exchange, the term telecommunications is often used in its plural form because it involves many different technologies. Early means of communicating over a distance included visual signals, such as beacons, smoke signals, semaphore telegraphs, signal flags, and optical heliographs.[10] Other examples of pre-modern long-distance communication included audio messages such as coded drumbeats, lung-blown horns, and loud whistles. 20th- and 21st-century technologies for long-distance communication usually involve electrical and electromagnetic technologies, such as telegraph, telephone, and teleprinter, networks, radio, microwave transmission, fiber optics, and communications satellites. A revolution in wireless communication began in the first decade of the 20th century with the pioneering developments in radio communications by Guglielmo Marconi, who won the Nobel Prize in Physics in 1909, and other notable pioneering inventors and developers in the field of electrical and electronic telecommunications. These included Charles Wheatstone and Samuel Morse(inventors of the telegraph), Alexander Graham Bell (inventor of the telephone), Edwin Armstrong and Lee de Forest (inventors of radio), as well as Vladimir K. Zworykin, John Logie Baird and Philo Farnsworth (some of the inventors of television). The word telecommunication is a compound of the Greek prefix tele (τηλε), meaning distant, far off, or afar, and the Latin communicare, meaning to share. Its modern use is adapted from the French,because its written use was recorded in 1904 by the French engineer and novelist Édouard Estaunié.Communication was first used as an English word in the late 14th century. It comes from Old French comunicacion (14c., Modern French communication), from Latin communicationem (nominative communicatio), noun of action from past participle stem of communicare "to share, divide out; communicate, impart, inform; join, unite, participate in", literally "to make common", from communis".
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With the arrival of petrodollars, the Kingdom of Saudi Arabia has initiated many mega infrastructure development projects in the country, and the extensive development of the transportation network has followed suit in support of various economic developments. As a result, the country now boasts an extensive transportation network. Roads in Saudi Arabia vary from eight-laned roads to small two-lane roads in rural areas. The city highways and other major highways are well maintained, especially the roads in the capital Riyadh. The roads have been constructed to resist the consistently high temperatures and do not reflect the strong sunshine. The other city highways such as the one linking coast to coast are not as great as the inner-city highways but the government is now working on rebuilding those roads. In October 2013, a group of auto enthusiasts drove some 2,000 km (1,200 mi) through Saudi Arabia in search of the best driving road, and named the Jeddah-Taif-Al-Hada highway as "motoring nirvana". Saudi Arabia had encouraged road transport in the past as had it maintained one of the lowest petrol prices in the world, at $0.13 per litre. In 2018, this price was raised to about $0.54 per litre, which is still not that high global-wise but definitely the highest it had ever been in the oil producing kingdom.It is worth noting that due to limited alternative passenger transport options in the country, the gasoline fuel demand is relatively inelastic to its prices;light-duty vehicles dominate the passenger transport landscape. Buses and other public transport options are limited, and walking or bicycles are hindered by the sprawling city landscapes and harsh weather in most regions of the country. Some of the important inter-city highways include the following: Dammam - Abu Hadriya - Ras Tanura Highway 257 km (160 mi) Khaybar - Al Ola Highway 175 km (109 mi) Mecca - Madinah Al Munawarah Highway 421 km (262 mi) Riyadh - Dammam Highway 383 km (238 mi) Riyadh - Sudair - Al Qasim Highway 317 km (197 mi) Riyadh - Taif Highway 750 km (470 mi) Taif - Abha - Jizan Highway 750 km (470 mi) Medina - Tabuk Highway 680 km (420 mi) Jeddah - Al Leith - Jizan Highway 775 km (482 mi) Jeddah - Mecca Highway 80 km (50 mi) On 19 February 2018, it was announced that four of the main Saudi motorways that allow for high speed will grant a speed limit increase to users from 120 kmph to 140 kmph. Those motorways are (Mecca-Medina), (Riyadh-Dammam), (Riyadh-Gassim) and finally (Riyadh-Taif).
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The first week is the most difficult of all, because controlling hunger, or the anxiety of eating according to the food habits that we bring before, is what many people I know consider a real challenge. There are no secrets, it is simple will that we must take into account, the more we stick to our plan the easier it will be to achieve a food discipline, which is the basis of our diet. first day It is very important to follow a simple routine, three meals a day, because one thing is to reduce your diet and another is to stop eating. breakfast two slices of toast, three strawberries, a cup of coffee or tea without sugar. (In my case I chose to eliminate sugar, but you can use sugar such as splenda, which are low calorie substitutes) lunch a small chicken breast, cooked in lemon, with slices of onion, cooked pea (small portion) a carrot, salt and pepper. Dinner A salad composed of two leaves of lettuce, a tomato, a quarter of cucumber, a slice of onion and as a dressing of lemon juice with garlic. It is important to keep in mind that eating salad does not prevent you from getting fat, the only thing that does not have calories is water, and the more you consume the better benefits you will acquire for your body. From my own experience I can tell you to avoid eating something extra from this diet especially in these days, because this way we do not close our stomach, in other words that if we eat foods that are low in calories or have a habit of understanding that they never get fat we will lower our appetite and that's what we want to achieve An orange, a banana and a cup of coffee or tea (with or without sugar) lunch tuna salad, two slices of toast bread and tea (this without sugar) prepare the salad: We took a small can of tuna in water and we drain, take about three slices of red onion three pitted olives, a teaspoon of peas Cooked and mix everything to achieve a pasta, which we eat with slices of bread. Dinner A salad composed of a quarter of cucumber, a tomato, a small pear and two strawberries. If you like, you can season it with lemon juice. This type of salad is not very common, but it does not stop being delicious Third day breakfast Four crackers with cream cheese, of course, the cheese that they spread to the cookie is minimal, just to give flavor, not abundantly, a cup of coffee or tea lunch A bisted beef cooked in lemon juice, with onion, garlic and carrots, try that the steak is lean, without fat. Dinner A salad composed of a slice of melon, three strawberries, a quarter of sliced cucumber and a tangerine. Fourth day breakfast A cup of coffee with milk and two small sweet cookies lunch Two slices of pork loin, cooked in lemon, with onion, garlic, carrot and cooked pea Dinner a salad of two leaves of lettuce, a tomato, a quarter of cucumber and three olives Fifth day breakfast Two bread toasts, a slice of Manchego cheese and a cup of coffee or tea. lunch 100 grams of ground beef cooked with a tablespoon of tomato paste, two slices of onion, two cloves of garlic and three olives. Dinner an orange, two strawberries and a banana Sixth day breakfast two bread toasts, a cup of coffee or tea lunch a cup of cooked rice with vegetables Dinner a salad of two leaves of lettuce, a tomato, a quarter of cucumber, two slices of onion and three olives Seventh day breakfast 10 red grapes, two strawberries and a tangerine, a cup of coffee or tea lunch two slices of whole grain bread, toast, a slice of ham, a slice of cheese, a lettuce leaf, two slices of tomato, two slices of cucumber, onion slice and two olives. This sandwich is without dressing.
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Tunisie Algérie Malte Libye France Italie Belgique Allemagne L'arabe tunisien ou tunisien (arabe : تونسي, soit Tounsi Écouter [ˈtuːnsi]), désigne un ensemble de dialectes arabesmutuellement intelligibles et rattachés à l'arabe maghrébin, parlés principalement par les Tunisiens: les quelque onze millions de personnes vivant en Tunisie, ainsi que par les Tunisiens établis à l'étranger. Il est généralement connu de ses locuteurs sous les noms de tounsi8, ce qui signifie « tunisien »9,10, ou encore de derja11 (« langue familière, parlée ») afin de le distinguer de l'arabe standard, la langue officielle du pays. Le tunisien, tout comme les autres langues maghrébines que sont l'algérien, le marocain, le libyen et le maltais, s'établit sur un substrat berbère12, punique13 et latin (Langue romane d'Afrique)14,15. De plus le tunisien est influencé par les langues des peuples ayant par subséquent vécu ou administré cette région au cours de l'histoire, dont notamment l'arabe, le turc, l'italien, l'espagnol et le français16. Il est parlé à travers toute la Tunisie mais se retrouve, comme partie d'un continuum linguistique, dans des variétés similaires parlées dans l'Est de l'Algérie et l'Ouest de la Libye. Sa morphologie, sa syntaxe, sa prononciation et son vocabulaire sont assez différents de l'arabe standard ou classique8. C'est pourquoi il est difficilement intelligible par les arabophones du Moyen-Orient (y compris les Égyptiens) mais plus facilement compris par les arabophones du Maghreb au prix d'un effort d'adaptation aux différences d'accent. Il est par ailleurs très proche du maltais17 qui n'est toutefois pas considéré comme un dialecte arabe pour des raisons sociolinguistiques. En raison du multilinguisme en Tunisie — les Tunisiens sont au moins quadrilingues : arabe tunisien, arabe standard, français et anglais — et en raison de toutes les influences linguistiques, présentes dans l'arabe tunisien, ainsi que d'une importante diasporaétablie à l'étranger, il est fréquent que les Tunisiens fassent du code-switching, mélangeant du tunisien avec du français, de l'anglais, de l'arabe ou d'autres langues dans leur parler quotidien18. En Tunisie, on distingue principalement les variétés nord-occidentale, du Sud tunisien, sahélienne et les vieux parlers citadins, ainsi que les nouvelles koinès urbaines7. La koinè urbaine tunisoise tend à être utilisée comme variante standard19. L'arabe tunisien fait partie de la famille des dialectes arabes et est compris par cela dans la famille des langues chamito-sémitiques20. Il fait partie, plus particulièrement, de la branche des langues sémitiques20. De plus, il fait partie des dialectes de l'arabe maghrébin qui sont en grande partie inintelligible pour les locuteurs d'arabe standard ou moyen-oriental et ce tout comme l'algérien ou le marocain10. Faisant partie du continuum linguistique, il a été reporté que le tunisien est partiellement mutuellement intelligible avec l'arabe algérien10, l'arabe libyen10 ainsi que le maltais21. Toutefois, le tunisien est faiblement, jusqu'à pas intelligible, avec l'arabe marocain10, l'arabe égyptien22, l'arabe levantin septentrional22, l'arabe mésopotamien22, et l'arabe du Golfe22. Durant l'antiquité, les habitants de la Tunisie parlaient d'anciennes formes de tamazight, proches du libyque23,24. Des migrants venant de Phénicie, se sont établis en Tunisie, tout le long des xiie jusqu'au iie siècle av. J.-C., ont fondé Carthage et se sont progressivement mélangé avec la po[CENSORED]tion locale. Ces migrants amenèrent avec eux leur culture et langue qui s'est progressivement répandue vers le reste des côtes Nord-Africaine, Hispanique et insulaire le long de la civilisation carthaginoise. À partir du viiie siècle av. J.-C., une partie des habitants de la Tunisie, parlaient la langue punique, une variante du phénicien influencée par la langue libyque locale. Aussi déjà, à l'époque, dans les régions proches du peuplement punique (région de Carthage), le berbère utilisé évolue fortement. Dans des centres urbains de l'intérieur comme Dougga, Bulla Regia, Thuburnica ou Chemtou, le berbère se détache des intonations maghrébines tout en gardant l'essentiel de son vocabulaire. Le terme « Afrique », qui donne son nom au continent, est ainsi issu de la tribu berbère des Afridi qui est l'une des premières à être en contact avec Carthage25. Également durant cette période jusqu'au iiie siècle av. J.-C, l'alphabet tifinagh berbère se développe à partir de l'alphabet phénicien26,27. À l'arrivée des Romains, à la suite de la chute de Carthage en 146 av. J.-C.28,29, toute l'élite était « punicisée » mais cette influence devait décroître au fur et à mesure que l'on s'éloignait de Carthage et du nord. De la période romaine jusqu'à la conquête arabe, le latin et le grec vont davantage influencer la langue qui sera alors appelé neo-punique pour la différencier de sa variante antérieure30. Cela a aussi progressivement donné par la suite naissance à la langue romane d'Afrique, un dialecte latin, influencée par les autres langues du pays et utilisée avec eux31. Également, comme ce fut le cas pour les autres dialectes31,32, le punique a probablement suvécu à la conquête arabe du Maghreb: Le géographe Al-Bakri, décrit au xie siècle, des personnes parlant une langue qui n'était ni du berbère, ni du latin ou du copte dans l'Ifriqiya rurale, une région où le punique a survécu bien au-delà de son utilisation écrite33. Toutefois il se peut que l'existence du punique ait facilité la propagation de l'arabe dans la région34, étant donné que le punique et l'arabe sont deux langues sémitiques qui partagent plusieurs racines communes35,36. L'arabe classique commença à être installé en tant que langue gouvernementale et administrative en Tunisie, qui était alors appelée Ifriqiya de son nom antérieur Africa, quand elle devint un territoire omeyyade en 67337,38. Les habitants de plusieurs villes (Romano-africains) ont été alors progressivement influencé par l'arabe38 tandis que les régions montagneuses de l'ouest et le sud de la Tunisie reste encore majoritairement berbère. À partir du xie siècle, par contact des langues locales avec l'arabe classique, quelques nouveaux dialectes urbains sont apparus dans les principales cités côtières de la Tunisie32,39,40. Ces dialectes étaient influencés par plusieurs mots de vocabulaire et structures communes d'origines berbères, puniques ou latines (langue romane d'Afrique), tel que la négation10,14,24,41,42. Ces nouveaux dialectes ont été aussi significativement influencé par d'autres langues historiques43,24,42,44. En fait, plusieurs mots tunisiens et maghrébins tel que qarnīṭ ont une étymologie latine15,45. Ces dialectes ont été par la suite appelés dialectes pré-hilalliens et ont été utilisés en même tant que l'arabe classique pour communiquer en Tunisie43,46. Séparément, le siculo-arabe, qui s'est développé durant le ixe siècle au travers du contact dialectal entre l'arabe classique et plusieurs langues Européennes, est entré en contact avec les dialectes pré-hilaliens tunisiens47,48. Étant donné que le sicilien était parlé dans plusieurs îles proches de la Tunisie comme la Sicile, Malte ou la Sardaigne, 47,49 ça a rapproché toutes les langues concernés et a amélioré leurs divergences grammaticales et structurelles par rapport à l'arabe classique40,50. Vers le xie siècle, des tribus arabes venant d'Égypte, les Banu Hilal qui ont immigré principalement vers l'Ouest et le Nord de la Tunisie et les Banu Sulaym qui ont immigré majoritairement vers le Sud de la Tunisie51,44,50. Ces immigrants ont joué un rôle majeur dans la propagation de l'arabe dans le pays44,46,50. Toutefois, ils ajoutèrent au tunisien quelques caractéristiques venant de leur dialecte arabe 51,44. En fait, les locuteurs de l'ouest du pays se mirent à utiliser la consonne occlusive vélaire voisée [ɡ] au lieu de la consonne occlusive uvulaire sourde [q] dans des mots tel que qāl "il a dit"51,46. Veronika Ritt-Benmimoum et Martine Vanhove ont même supposé que le remplacement des diphthongues /aw/ et /aj/ par respectivement /uː/ et /iː/ est dû à l'influence hilalienne43,51,46,50. De plus, les phonologies amenés vers les nouvelles villes parlant tunisien, étaient celles des immigrants et non pas celles originellement tunisiennes51. Les Sulaym quant à eux ont répandu un nouveau dialecte au Sud du pays qui est l'arabe libyen51,46,52. Néanmoins, certains dialectes évitèrent toute influence hilalienne; Ces dialectes étaient: le judéo-tunisien qui est parlé par les Tunisiens juifs et est légèrement influencé par la phonologie hébraïque53,54,55, le dialecte de Sfax56 et enfin le dialecte des femmes urbaines tunisiennes57. Au xve siècle, à la suite du déclin d'Al-Andalus, plusieurs Andalous ont immigré vers les principales villes du nord tunisiens. Ces migrants amenèrent quelques caractéristiques de l'arabe andalou et du mozarabe aux dialectes tunisiens. Parmi d'autres, cela a amené à la réutilisation de la consonne occlusive uvulaire sourde [q] au lieu de la consonne occlusive vélaire voisée [ɡ] hilalienne dans les variétés urbaines et à la simplification des sons des mots en tunisien50,52,58,59, ce qui a davantage différencié la langue de l'arabe classique52. De même, ces changements ont été reconnus par l'érudit hafside, Ibn Khaldoun dans sa Mouqaddima en 1377: Il dit que le contact linguistique entre l'arabe classique et les langues locales à causé la création de plusieurs variétés d'arabe, très distinctes de l'arabe formel Durant la période qui s'étend du 17e jusqu'au xixe siècle, la Tunisie est passé sous contrôle espagnol puis ottoman et a accueilli des immigrants morisques et italiens dès 160944,61. Cela a fait se connecter les langues tunisienne, espagnole, italienne et turque61. Aussi, durant cette période le tunisien a acquis plusieurs nouveaux mots de vocabulaire de l'espagnol et du turc44,61 et même quelques structures tel que le suffixe -jī du turc, ajouté à un nom pour signifier une profession, tel que kawwāṛjī, qahwājī61... Durant la deuxième moitié du xixe siècle, le tunisien a été étudié par plusieurs linguistes européens63. En 1893, une première étude linguistique est complété par le linguiste allemand Hans Stumme. Aussi, ce fut le commencement d'une tendance, toujours d'actualité, concernant la recherche sur l'arabe tunisien Durant le protectorat français de Tunisie, le pays est entré en contact avec la langue française42,65. Ce contact a considérablement influencé le tunisien. En effet, de nouveaux mots de vocabulaire ainsi que des nouvelles structures et sens de mots ont été pris du français42,65,66. Ces changements ont davantage augmenté l'inintelligibilité du tunisien pour les locuteurs d'arabe moyen-oriental22,42,65. Le dirigent tunisien Habib Bourguiba tendait à communiquer aux événements officiels et même aux célébrations religieuses, en tunisien67,68 Toutefois, cette période a aussi été caractérisée par une hausse de l'intérêt porté par les Tunisiens sur le tunisien. En effet cette période a vu le commencement d'une utilisation formelle et littéraire répandue de l'arabe tunisien, tel que par Taht Essour69. Aussi, davantage de recherches portant sur le tunisien ont été produites, principalement par des linguistes français et allemands53,6. Le tunisien devint même enseigné en tant que langue optionnelle dans les lycées français70. À l'indépendance du pays en 1956, le tunisien n'était parlé que dans les zones nord et côtières du pays, tandis que les autres régions parlaient l'arabe algérien, l'arabe libyen ou différents dialectes berbère42,71,72,73,74,75. C'est pourquoi le dirigeant tunisien Habib Bourguiba a promu une campagne d'arabisation et de tunisification de la Tunisie et a répandu une éducation basique et gratuite pour les Tunisiens42,76,77. Ceci a contribué à une minimisation partielle de l'alternance de code linguistique à partir des langues européennes dans le tunisien et à l'utilisation d'alternance de code linguistique à partir de l'arabe standard42,62,75,76,77. De plus, la création de l'ERTT en 1966 et la propagation de la télévision avec le contact des dialectes a amené à un rapprochement, de tous les dialectes du tunisien dès les années 198078,18,42,76,79,78,80,81. Alors, le tunisien a atteint une utilisation pleinement nationale et est devenu composé de six dialectes légèrement différents mais totalement mutuellement intelligibles : le dialecte de Tunis qui est considéré comme étant le tunisien de référence, le dialecte du Sahel, le dialecte de Sfax, le dialecte du Sud-Ouest, le dialecte du Sud-Est et le dialecte du Nord-Ouest8,16,78,80,81,82. En conséquence, le tunisien est devenu la principale langue de prestige pour la communication et l'interaction au sein de la communauté tunisienne82,83 En revanche, les dialectes berbères, l'arabe libyen et algérien, ainsi que plusieurs dialectes du tunisien tel que le dialecte traditionnel des femmes urbaines, le judéo-tunisien et même certaines structures tunisiennes comme lā + nom + š ont aussi pratiquement disparu de la Tunisie20,8,78,80,84. La période après l'indépendance tunisienne a été aussi marquée par une accélération de l'usage du tunisien dans la littérature et l'éducation. En fait, le tunisien a été enseigné par le corps de la Paix américain de 1966 jusqu'à 199385,86 et davantage de recherches sur lui ont été faites, dont certaines utilisaient des méthodes nouvelles, telles que la programmation et la création de plusieurs corpus automatiques en tunisien87,88,89,90,91,92. D'autres recherches, plus traditionnelles, ont été également produites durant cette période, concernant la phonologie, la morphologie, la pragmatique et la sémantique du tunisien8,93. La langue a aussi été utilisée pour écrire plusieurs nouvelles depuis les années 199069et même une liste Swadesh en 201294. De nos jours le tunisien est enseigné par plusieurs institutions, telles que l'INALCO (situé à Paris avec des cours de tunisien depuis 1916)95, l'IBLV (situé à Tunis avec des cours de tunisien depuis 1990)96,97,98 ou même dans les lycées français en tant que langue optionnelle99. En fait, 1878 étudiants ont passé le tunisien au baccalauréat français de 199999. Aujourd'hui, la tendance en France est à l’implémentation de l'arabe maghrébin et principalement le tunisien davantage dans l'éducation de base96. Aussi, ce ne furent pas les seuls essais du tunisien dans l'éducation: Un projet pour offrir une éducation de base pour les personnes âgées en utilisant le tunisien a été proposé en 1977 par le linguiste tunisien Mohamed Maamouri. Ce projet visait à améliorer la qualité et l'intelligibilité de l'enseignement de base pour les personnes âgées qui ne pouvaient pas comprendre l'arabe standard, ne l'ayant pas appris durant leur jeunesse. Toutefois, ce projet n'a pas été implémenté 100.101,102,103,104 Aujourd'hui, la classification linguistique du tunisien causes des controverses entre les personnes intéressées69. Ce problème est dû au fait que la langue est généralement considérée comme faisant partie du continuum linguistique arabe105,106. Certains linguistes tels que Michel Quitoutand ou encore Keith Walters considèrent le tunisien comme étant une langue indépendante44,69,82 alors que d'autres comme Enam El-Wer la considèrent comme étant un dialecte de l'arabe46, tandis qu'Abdou Elimam considère le tunisien – tout comme les autres parlers arabes du Maghreb – comme étant une évolution du néo-punique.
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Cars 3, ou Les Bagnoles 3 au Québec, est le 138e long métrage d'animation produit par les Studios Disney et réalisé par Brian Fee, sorti en 2017. Il fait suite à Cars (2006) et Cars 2 (2011). Il s'agit de la première réalisation de Brian Fee, qui a déjà travaillé sur les story-boards des deux premiers opus1. Le scénariste, Daniel Gerson, mort le 6 février 2016, signe ici son dernier scénario pour un film2. Le célèbre Flash McQueen doit abandonner les circuits après un très grave accident durant la dernière course de la compétition et alors qu'une nouvelle génération de voitures high-tech, menée par le rookie Jackson Storm, l'a mis sur la touche. Pour ne pas finir comme était son mentor Doc Hudson, il entreprend donc de retrouver confiance en lui, aidé par une entraîneuse un peu maladroite, Cruz Ramirez, et le mentor de son défunt mentor, Smokey. Flash McQueen est au sommet de sa gloire après avoir remporté toutes les Piston Cup ainsi que le World Grand Prix. Avec Bobby Swift et Cal Weathers, ils sont les rois des circuits de la Piston Cup. Lors d'une course et alors que le trio est en tête, le jeune et ambitieux Jackson Storm, véhicule ultra-technologique, remonte le peloton, dépasse les trois favoris et s'impose largement. Peu à peu, les « vétérans » se voient dépassés par la nouvelle génération et Flash se trouve être l'un des derniers anciens à arpenter les circuits. Après avoir subi plusieurs défaites, McQueen, lors de la dernière course de la compétition, est tellement obnubilé par ce nouvel adversaire qu'il réalise un arrêt aux stands trop court. De retour sur la piste, il se fait dépasser par trois concurrents dont Storm. Pour les rattraper, Flash force tellement l'allure, qu'il perd le contrôle, se percute contre le muret, se fait éjecter et fait de nombreux tonneaux avant de s'immobiliser devant ses concurrents, ses fans et ses amis impuissants... Quatre mois après son terrible accident, il se retire donc à Radiator Springs, où il n'arbore plus sa couleur rouge ni le nom de son sponsor et passe son temps à se morfondre dans le garage de Doc Hudson, son mentor qui lui manque terriblement et repense sans cesse à l'accident qui a mis un terme à sa carrière. Notamment, lorsque Doc lui a expliqué (durant le premier film) qu'il avait arrêté la course à cause de son grave accident et que le temps de sa réparation tous ses fans ne s'intéressaient qu'aux nouvelles recrues. Finalement, Sally parvient à le convaincre de reprendre la course et celui-ci annonce à ses sponsors Dusty et Rusty qu'il est de retour dans la compétition. Il se rend ainsi au tout nouveau centre d'entraînement de l'écurie Rusteze, où ses propriétaires lui annoncent que pour financer cet équipement ultra-moderne, ils ont dû vendre leur marque à un jeune milliardaire, Sterling. Ce dernier veut remettre McQueen sur les circuits mais lui impose d'être entraîné par Cruz Ramirez. Entraîneuse réputée pour ses qualités de préparatrice sportive, elle le traite comme une personne âgée mais le n°95 veut retrouver la compétition au plus vite. Il s'engage de force sur le simulateur de course ultra-moderne mais se trouve incapable de maîtriser l'installation et l'endommage gravement. Flash a ensuite une altercation avec son nouveau patron. Ce dernier veut qu'il mette fin à sa carrière pour pouvoir vendre des produits dérivés à son effigie. Révolté, le coureur passe un accord avec Sterling : il s'entraîne à sa manière, loin du centre, mais prendra sa retraite s'il échoue lors de la première course de la saison, en Floride. Flash, accompagné malgré lui de Cruz, reprend alors l'entraînement en milieu extérieur, aidé par Luigi et Guido. Il se rend d'abord sur la plage de Fireball, où il apprend à Ramirez quelques bases de la conduite sportive puisque celle-ci ne parvient pas à le suivre pour mesurer sa vitesse. Au bout d'un jour, il choisit de changer de terrain et tous deux partent vers le circuit de Thunder Hollow, où une compétition d'amateurs va avoir lieu. Couvert de boue grâce à Luigi pour éviter d'être reconnu et inscrit sous le nom de « Chester Vilebrequin », Flash se rend compte trop tard qu'il est en réalité engagé dans un derby de démolition. C'est Cruz, embarquée contre son gré dans ce combat de voitures sous le pseudonyme de « Martine Laturbine », qui sort vainqueur après que Flash l'ait sauvée de Miss Fritter, un terrifiant bus scolaire. À la suite de cela, Flash est aspergé d'eau et son camouflage disparaît : il est alors photographié avec un panneau « Je me suis sali les pneus à Thunder Hollow », une image qui fait le tour des médias. Sur la route du retour, McQueen, fâché, couvre de reproches son entraîneuse, estimant qu'elle lui fait perdre son temps. Triste et blessée, elle lui révèle qu'elle n'a jamais rêvé d'être entraîneuse mais de devenir une voiture de course comme lui. Si elle n'a jamais pu réaliser son rêve, c'est qu'en participant au départ d'une course, elle a perdu toute confiance en elle juste avant le départ et a préféré déclarer forfait. Elle prend la décision de retourner au centre d'entraînement et part seule dans la direction opposée à celle de Mack, Flash, Luigi et Guido. Doutant de lui-même après ses entraînements, Flash décide de prendre le chemin de la ville de Thomasville où il espère retrouver Smokey, l'ancien mentor et directeur technique de Doc. Il parvient d'abord à retrouver Cruz et à la convaincre de se joindre à lui, tout en avouant qu'il ne sait même pas si le mentor de son défunt mentor est encore de ce monde. Toujours en vie, Smokey révèle à McQueen qu'après son terrible accident qui l'a définitivement écarté de la course automobile, le « Vieux Hud » a voulu reprendre la compétition mais la jeune génération, plus moderne et plus rapide, l'a contraint à renoncer à cette idée. Il s'est donc retiré à Radiator Springs sans plus donner de nouvelles à son mentor. Smokey ajoute qu'il a fini par recevoir des courriers de Doc au bout de 50 ans : tous parlaient de Flash, de ses exploits et de la fierté de l'ancien champion d'être son entraîneur. Reprenant de l'assurance, Flash s'entraîne sur le vieux circuit de Thomasville où Smokey et ses acolytes River Scott, Junior Moon et Louise Nash (tous d'anciens coureurs) lui enseignent toutes leurs ruses pour gagner des places et de la vitesse, puisqu'il n'est plus la voiture la plus rapide. Après un dernier entraînement où il est battu par Ramirez, McQueen part pour la Floride et prend le départ de la course. Commençant celle-ci, il entend la voix de Smokey, qui a pris le rôle de directeur technique et prodigue ses bons conseils à Flash, avec l'aide de Cruz. McQueen remonte peu à peu, ayant dû partir dernier. Sterling le contacte par radio pour le soutenir, mais Flash sombre à nouveau dans ses doutes. Il entend alors son employeur congédier Cruz avec mépris, jugeant qu'elle n'est pas une voiture de compétition et lui intimant l'ordre de former une jeune voiture de la nouvelle génération pour la course suivante. McQueen profite d'un incident sur le circuit pour rentrer aux stands. Alors que Martin immobilise Sterling, Flash persuade Ramirez de prendre sa place sur le circuit, puisque selon le règlement de la Piston Cup, seul le numéro du coureur compte. Guido lui visse quatre pneus neufs, Ramon lui peint rapidement un numéro « 95 » et elle accepte de prendre part à la course. Conseillée par radio par Flash, qui fait désormais office de directeur technique et lui rappelle tout ce qu'elle a appris à ses côtés, elle remonte jusqu'à la troisième place. Storm ralentit jusqu'à sa hauteur et tente de la déstabiliser, mais McQueen la rassure en lui expliquant que c'est Storm qui s'inquiète puisqu'il a volontairement reculé pour pouvoir lui parler. Cruz retrouve confiance en elle et remonte jusqu'à l'arrogant bolide bleu. Ce dernier la pousse contre le muret mais elle opère un salto au-dessus de son adversaire, comme Doc Hudson en son temps. Elle remporte ainsi la course et la victoire est également attribuée à Flash puisque c'est lui qui avait pris le départ sous le n°95. Sterling, impressionnée par la performance de son entraîneuse, tente de la conserver en l'amadouant mais celle-ci lui remet sa démission et accepte immédiatement de courir pour Dinoco, l'écurie que McQueen voulait absolument séduire dans le premier opus. Peu après, Cruz Ramirez, qui a repris le mythique n°51 du « Fabuleux Hudson Hornet », se rend sur le circuit en terre de Radiator Springs où toute la ville l'attend. Elle y retrouve Flash McQueen, qui a en a profité pour arborer la couleur bleue de Doc Hudson et fait floquer sa voiture du slogan mis à jour de son mentor : « Fabuleux McQueen ». À cette occasion, Tex Dinoco annonce qu'il a racheté Rusteze à Sterling et laisse Flash arborer les couleurs de son écurie de toujours. Les deux amis s'élancent alors pour une course folle sur le circuit où Doc entraînait jadis le jeune rookie, sous les acclamations de la foule.
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Ukrainian Brazilians (Portuguese: Ucraino-brasileiro, Ucraniano-brasileiro; Ukrainian: Українські бразильці, Ukrayins'ki Brazyl'tsi) are Brazilian citizens born in Ukraine, or Brazilians of Ukrainian descent who remain connected, in some degree, to Ukrainian culture. In 1994, 400,000 people of Ukrainian descent lived in Brazil, 80% (or approximately 350,000) of whom lived in a compact region approximately 5,000 square kilometres (1,930 sq mi) in size (an area slightly larger than the US state of Rhode Island), in the hilly south central part of the state of Paraná in southern Brazil.They refer to this region as "Brazilian Ukraine."Smaller numbers of Ukrainians have settled in São Paulo, Santa Catarina, Rio Grande do Sul,Pernambuco, and Paraiba.The cities with the largest number of Ukrainians are Prudentópolis (approximately 38,000 Ukrainians, or 75% of the city's po[CENSORED]tion), Curitiba (33,000 Ukrainians), and União da Vitória (approximately 26,400 Ukrainians or 50% of the city's po[CENSORED]tion).In 2009 the Ukrainian po[CENSORED]tion in Brazil was estimated to be 500,000 people. Brazil has the third largest Ukrainian community in the Americas,and the third largest Ukrainian po[CENSORED]tion outside of the former Soviet Union; only Canada and the United States have larger Ukrainian po[CENSORED]tions. In comparison to Ukrainians in North America, the Ukrainian community in Brazil (as well as in neighboring Argentina) tends to be more descended from earlier waves of immigration, is poorer, more rural, has less organizational strength, and is more focused on the Church as the center of cultural identity.Seventy percent of Brazil's Ukrainians live in agricultural communities known as "colonies" where they tend crops such as wheat, rye, buckwheat, rice, black beans, and erva mate, a local type of tea.These colonies are isolated from modern areas of Brazil's economy and from non-Ukrainians, and in many respects closely resemble Galician (Western Ukrainian) villages of the 19th century.
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Le diabète sucré (ou diabète par abus de langage) est une maladie liée à une défaillance des mécanismes biologiques de régulation de la glycémie (concentration de glucose dans le sang) menant à une hyperglycémie. Cette maladie se manifeste par des symptômes propres au diabète (syndrome polyuro-polydipsique) et par des lésions d'organes tels la rétine, les reins, les artères coronaires, etc., dues à la toxicité de l'acétone produite lors d'une dégradation rapide des graisses arrivant en cas de défaillance de l'insuline menant à une hyperglycémie majeure. Il y a trois types principaux de diabète sucré Le terme latin diabetes mellitus est utilisé par la classification internationale des maladies2, et dans divers pays. L'adjectif latin mellitus signifie « sucré comme le miel »3. Le mot diabète vient du grec ancien διαβήτης, diabète, lui-même tiré du verbe grec διαβαίνω, passer au travers. Les médecins grecs anciens, tels Arétée de Cappadoce4 et Oribase, avaient observé ce syndrome diabétique : les malades semblaient uriner aussitôt ce qu'ils venaient de boire, comme s'ils étaient « traversés par l'eau » sans pouvoir la retenir. Puis ils maigrissaient, malgré une nourriture abondante, et mouraient en quelques semaines ou mois. Les médecins égyptiens avaient déjà découvert cette maladie à l'époque d'Amenhotep III entre le xve siècle et le xvie siècle avant notre ère (date variable selon les égyptologues)5,6. La maladie est décrite à la section Vases d'eau du corps, dans le Papyrus Ebers conservé à Leipzig, rédigé sous le règne d'Amenhotep III (ou Aménophis III en grec), où se trouvent toutes les sources de la médecine égyptienne7. Les médecins grecs de l'école d'Hippocrate de Cos ont donné son nom au diabète (nom tiré du grec ancien, διαβαίνω, diabaïno, qui signifie « traverser »), et ont ensuite observé vers le iiie siècle av. J.-C. ou le iie siècle av. J.-C. (selon les sources), « que les malades étaient frappés d'une soif continuelle, et qu'ils semblaient uriner aussitôt ce qu'ils venaient de boire, comme s'ils étaient « traversés par l'eau » sans pouvoir la retenir8. » C'est Praxagoras de Cos (384-322 av. J.-C.) disciple d'Hippocrate, qui évoqua pour la première fois la nocivité des humeurs sucrées9. Dans certains cas les urines n'avaient pas de goût (diabète insipide), dans d'autres, les urines étaient sucrées (diabète sucré ou hyperglycémie)10,11. Au viie siècle ap. J.-C., les Chinoisfaisaient part de leurs observations et de leurs interprétations concernant les urines sucrées et proposaient un traitement proche des méthodes modernes qui recommandent aux diabétiques de s'abstenir de consommer de l'alcool et de l'amidon12. La régulation de la glycémie par l'organisme est en grande partie liée à la capacité des cellules à absorber le glucose, faisant ainsi baisser sa concentration dans le sang. L'insuline est une hormone sécrétée par le pancréas, dont la fonction est d'augmenter l'entrée de glucose dans les cellules en cas d'hyperglycémie (d'où son action hypoglycémiante). La polyurie-polydipsie (littéralement, « beaucoup uriner et soif intense ») est une conséquence de l'hyperglycémie (augmentation du taux de sucre sanguin). Les reins ne peuvent récupérer tout le glucose filtré, qui passe dans les urines et par osmose appelle l'eau de l'urine primaire et provoque une perte d'eau importante dans les urines, ce qui entraîne une déshydratation et une soif permanente. Les malades boivent donc parce qu'ils urinent trop et non l'inverse. Le risque de transmission du diabète n'est pas le même dans le type 1 ou le type 2. Il est généralement considéré comme un risque assez important : il est de 5 % dans le diabète insulino-dépendant (type 1). Dans le diabète insulino-résistant (type 2), ce risque s'élève à 30 % si un seul parent est atteint, et à 50 % si les deux parents sont diabétiques. une émission d'urine excessive (polyurie) entraînant une soif intense (polydipsie), soit un diabète proprement dit ; un appétit anormalement augmenté (polyphagie). Il a aussi pour conséquence un amaigrissement malgré une prise de nourriture abondante ; parfois une acido-cétose diabétique avec dyspnée de Kussmaul. D'autres symptômes peuvent apparaître, tels qu'une perte de poids, une fatigue et des troubles de la vision, ou encore une irritabilité. Les analyses de sang et d'urine montrent : une glycémie (taux de sucre dans le sang) supérieure à 1,26 g/l à jeun ou 7 mmol (la valeur normale étant comprise de 0,8 et 1,10 g/L, de 1,10 à 1,25, il est plutôt question d'intolérance au glucose) ; parfois une acétonurie (présence d'acétone dans les urines, le seuil de passage de l'acétone dans les urines est une glycémie de 2,5 g/l) accompagnée d'une haleine de « pomme reinette » caractéristique ; une présence de sucre dans les urines (glycosurie, le seuil du passage de sucre dans les urines est de 1,8 gramme) ; Plusieurs défaillances existent et caractérisent des formes de diabète différentes. Les symptômes et les complications peuvent être variables selon le ou les mécanismes défaillants (Tima et Aissal, A). En France, cette forme de diabète représente près de 6 % des cas de diabète13. Autrefois appelé diabète insulino-dépendant (ou encore diabète juvénile), ce diabète apparaît le plus souvent de manière brutale. C'est la cause la plus fréquente de diabète chez l'enfant, mais il peut survenir à tous les âges. Sa forme la plus fréquente est la conséquence d'une maladie auto-immune, c'est-à-dire la destruction de cellules bêta des îlots de Langerhans du pancréas (qui synthétisent l'insuline) par le système immunitaire, ce dont témoigne la présence d'anticorps dans le sang. Leur destruction a pour conséquence une absence d'insuline dans le sang. Le diabète de type 1 est le plus souvent un diabète insulinodépendant. Les diabétiques de type 1 doivent s'injecter de l'insuline plusieurs fois par jour tout au long de leur vie et manger de manière équilibrée. Cet équilibre glycémique étant précaire, traitement et alimentation varient au jour le jour en fonction des circonstances : activités, émotions, horaires, maladies intercurrentes, etc. Le diabétique se doit donc d'être autonome dans la gestion de sa maladie. Cette forme de diabète représente 90 % des cas de diabète14. Autrefois appelé diabète non insulinodépendant (ou diabète de l'âge mûr), ce diabète survient classiquement chez l'adulte de plus de quarante ans présentant, dans 80 % des cas, une obésité ou du moins un excès pondéral, et avec souvent des antécédents familiaux de diabète de type 2. Chez la femme, cela a parfois été précédé de diabète gestationnel (diabète transitoire pendant les grossesses), ou plus souvent de gros bébés. Au début de la maladie, la production d'insuline par le pancréas est normale (voire excessive). Mais, les cellules de l'organisme chargées de capter et d'utiliser le glucose deviennent insensibles à l'insuline, d'où une augmentation de la glycémie. Le diabète de type 2 est le plus souvent non-insulinodépendant, mais un traitement par insuline peut être nécessaire pour la maîtrise de l'équilibre glycémique. Le diabète de type 2 s'associe souvent à d'autres facteurs de risque cardiovasculaire, comme l'hypertension artérielle, la répartition androïde des graisses, l'hypertriglycéridémie et la baisse du taux du cholestérol-HDL, le syndrome métabolique. Son incidence augmente, en conséquence des modifications du mode de vie (sédentarité, alimentation hypercalorique, hyperlipidique). Jusqu'à récemment, ce diabète touchait essentiellement des adultes, à partir de la trentaine, mais en raison de l'augmentation du taux d'obésité juvénile, il touche maintenant de plus en plus d'adolescents, voire d'enfants. Le diabète de type 2, ou diabète de la maturité, s'observe le plus souvent chez des individus en surpoids ou obèses, aussi appelé « syndrome dysmétabolique » avec risque de stéatose hépatique (surcharge graisseuse du foie). On dit plus souvent que ce diabète est un diabète âgé. Le diabète gestationnel est un diabète qui apparaît pour la première fois chez certaines femmes au cours de la grossesse. Il est caractérisé par une intolérance au glucose due à la production d'hormones placentaires, provoquant une insulinorésistance qui entraîne une hyperglycémie. Le diabète gestationnel peut être isolé (il ne survient que pendant les grossesses) ; plus fréquemment, il annonce la possibilité d'un diabète de type 2 ou peut être la première manifestation d'un diabète de type 1. Il existe de nombreuses autres causes de diabète sucré, relativement rares. On peut citer15 : les anomalies de fonction des cellules bêta d'origine génétique : MODY - maturity-onset diabetes of the young - de début habituellement précoce (avant 25 ans en général), et non insulinodépendant, avec transmission de type autosomique dominant, pouvant concerner les gènes HNF4 (hepatocyte nuclear factor 4) alpha pour MODY 1, glucokinase (hexokinase hépatique) pour MODY 2, HNF1 alpha pour MODY 3, ou plus rarement IPF(insuline promotor factor)-1, HNF-1 beta, neuroD1 ; le diabète néonatal (avant six mois) transitoire ou permanent ; les mutations de l'ADN mitochondrial, associées à une surdité de perception et caractérisées par une hérédité maternelle (syndrome de Ballinger-Wallace) ; les anomalies de l'action de l'insuline d'origine génétique : résistance à l'insuline type A, lepréchaunisme, syndrome de Rabson-Mendenhall, diabète lipoatrophique (lipodystrophie congénitale de Berardinelli-Seip, caractérisé par la disparition du tissu adipeux, avec insulino-résistance majeure, hyperlipidémie et stéatose hépatique) ; les maladies du pancréas exocrine : pancréatite chronique, traumatisme et chirurgie du pancréas, cancer du pancréas, mucoviscidose, hémochromatose ; les maladies endocriniennes : acromégalie, syndrome de Cushing, glucagonome, phéochromocytome, hyperthyroïdie, adénome de Conn ; les diabètes induits par un médicament ou une substance : Vacor (un raticide), pentamidine, acide nicotinique, corticoïdes, lévothyroxine, diazoxide, bêtabloquants, thiazidiques, phénytoïne, interféron gamma ; des infections : rubéole congénitale, cytomégalovirus ; des formes rares de diabète auto-immun : syndrome de l'homme raide, la présence d'anticorps anti-récepteur de l'insuline ; d'autres syndromes génétiques parfois associés à un diabète : la trisomie 21, le syndrome de Klinefelter, le syndrome de Turner, le syndrome de Wolfram, l'ataxie de Friedreich, la maladie de Huntington, le syndrome de Laurence-Moon, la dystrophie myotonique de Steinert, la porphyrie[réf. nécessaire], le syndrome de Prader-Willi. D'autres causes sont parfois citées : les antipsychotiques[réf. nécessaire] et les immunosuppresseurs de la famille des inhibiteurs de la calcineurine[réf. nécessaire], la cirrhose[réf. nécessaire] (quelle qu'en soit la cause, mais plus particulièrement dans le contexte de l'infection par le virus de l'hépatite C). Le diabète peut être responsables de complications métaboliques aiguës caractérisées par un taux de sucre sanguin (glycémie) élevé, et un coma de type acido-cétosique ou hyperosmolaire. Les atteintes des gros vaisseaux (macroangiopathie) sont dues à l'athérosclérose. On[Qui ?] retrouve souvent de l'angine de poitrine, voire des infarctus du myocardepassant parfois inaperçus, des accidents vasculaires cérébraux comme des accidents ischémiques et de l'artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Il est conseillé aux diabétiques de faire un électrocardiogramme une fois par an. Les complications des petits vaisseaux (microangiopathie) touchent : les yeux : par la rétinopathie diabétique ischémique (sans formation de néo-vaisseaux) ou hémorragique (avec formation de néo-vaisseaux) pouvant entraîner cécité, microanévrisme, œdème maculaire. Il est conseillé aux diabétiques de faire un fond d'œil une fois par an ; le réseau nerveux : la neuropathie diabétique est un trouble de la sensibilité épicritique et profonde parfois accompagné de douleurs neuropathiques principalement au niveau des membres inférieurs, ces troubles de la sensibilité peuvent entraîner un retard de prise en charge de plaies du pied. L'ostéoarthropathie diabétique nerveuse (OD) des chevilles et des pieds a pris le nom de « pied de Charcot »16. Le diabétique ne se rend pas compte qu'il a une blessure par l'absence de stimulidouloureux, il laisse évoluer une blessure pouvant entraîner un escarre, voire un authentique mal perforant plantaire. Les diabétiques testent annuellement leur sensibilité distale avec un monofilament17 ; les reins : la néphropathie diabétique pouvant évoluer jusqu'à l'insuffisance rénale. Différentes lésions peuvent atteindre le rein diabétique, surtout les néphropathies glomérulaires et les néphropathies vasculaires. le plan cutanéo-muqueux : des difficultés de cicatrisation des plaies sous forme d'ulcères sont perçues, ces derniers sont courants chez les diabétiques atteints d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs (mal perforant plantaire). Sur le plan immunitaire, le milieu sucré profite à beaucoup d'agents infectieux telles les candidoses par une atteinte de l'immunité cellulaire. Il est associé à la maladie parodontale18,19. Enfin, la grossesse d'une femme diabétique doit faire l'objet d'un suivi médical particulier, de façon à limiter les risques de malformations fœtales. Le diabète, sans être véritablement classé dans les maladies émergentes, est une maladie chronique et invalidante qui se développe de manière épidémique depuis quelques décennies, et dont la prévalence augmente fortement et rapidement dans tous les pays, surtout avec le mode de vie, l'urbanisation et ses conséquences20, laissant supposer qu'outre une composante génétique, cette maladie a un ou plusieurs facteurs environnementaux. La maladie s'est d'abord développée dans les pays riches ou dits « développés en rapport avec la sédentarité et l'alimentation », mais de nombreux indices indiquent qu'elle se développe rapidement dans les pays pauvres (la malnutrition, l'ignorance, les infections). La prévalence était en 2003 la plus élevée en Amérique du Nord (7,9 % de la po[CENSORED]tion nord-américaine) et en Europe (7,8 % de la région Europe), au Maroc environ 5 %. La prévalence est croissante en Asie du Sud-Est, elle pourrait d'ici vingt ans devenir la zone où le risque de diabète serait le plus élevé (13,2 % de la po[CENSORED]tion y est déjà victime d'intolérance au glucose (IGT)). L'Organisation mondiale de la santé évoque une véritable épidémie avec un nombre de cas estimés passé de 30 millions en 1985 à 135 millions en 1995, dix ans plus tard et 177 millions en 2000, puis 194 millions en 200321. L'OMS s'attend à un nombre de diabétiques d'environ 300 millions d'ici à 2025 (330 selon la fédération mondiale du diabète qui estime qu'en 2003, il y a 194 millions de diabétiques dans le monde, c'est-à-dire 5,1 % des adultes en moyenne, et qu'ils seront 6,3 %, d’ici 2025). En 2012, le taux de diabète estimé chez les jeunes Chinois de 7 à 18 ans est 4 fois supérieur à celui observé chez les jeunes Américains. Ainsi, 1/3 des enfants chinois de moins de 17 ans présente au moins un facteur de risque cardiovasculaire. Ceci s'explique par les changements nutritionnels qui ont accompagné l’essor économique du pays et ont entraîné une véritable épidémie d’obésité. À signaler que la quasi-totalité des cas sont des diabètes de type 2, le type 1 étant une forme de diabète quasiment inexistante en Chine. En France, la prévalence du diabète est mieux suivie depuis 1998 grâce à des enquêtes spécifiques : 2,5 millions de personnes en 2008 y seraient atteintes de diabète de type 2 (prévalence de 3,5 %). La prévalence est passée de 2,7 à 3,6 % de 2000 à 2005 (augmentation moyenne annuelle de 5,7 %). 500 000 à 800 000 Français vivraient sans savoir encore qu'ils sont diabétiques. Les disparités d'âge et disparités géographiques sont fortes : la maladie est diagnostiquée à l'âge moyen de 64,8 ans. Les 75 ans et plus sont les plus touchés (13,4 %) juste devant les 65-74 ans (13,3 %). Un cinquième de la po[CENSORED]tion âgée de plus de 75 ans est diabétique. Les régions d'outre-mer sont les plus touchées avec 7,8 % des Réunionnais, 7,3 % des Guadeloupéens, 6,8 % des Martiniquais. En métropole, les diabétiques sont plus nombreux dans le quart nord-est du pays et notamment en Seine-Saint-Denis (5,1 % de la po[CENSORED]tion), l'ouest étant moins touché [14]. C'est en Alsace, peut-être à cause de l'alimentation, que le nombre de diabétiques est le plus élevé (avec une prévalence de 6,5 %24). La Fédération internationale du diabète estime que, en Belgique, une personne sur douze est atteinte de diabète (7,8 %) (statistiques de 2007). Dans vingt ans, ce chiffre devrait atteindre 1 sur 10. Le diabète est devenu la quatrième ou cinquième cause de mortalité dans la plupart des pays développés. Il a d'abord touché essentiellement des pays riches ou développés, mais s'étend maintenant dans les pays pauvres ou nouvellement industrialisés. Son incidence est difficile à mesurer, notamment dans les pays pauvres et ce, par manque d'études spécifiques. L'OMS estime20 que vers l'an 2000, quatre millions de personnes en mourraient par an dans le monde, ce qui correspond à un taux de létalité de 9 % environ. Les complications oculaires et cardiovasculaires de cette maladie qui surviennent souvent chez des gens jeunes ou encore en activité poussent les services de santé et organismes de sécurité sociale à dépenser de plus en plus pour lutter contre le diabète dont les causes restent incomprises. Le nombre de cas continue néanmoins d'augmenter. Outre un dépistage permettant un traitement plus précoce, un régime alimentaire adapté, une augmentation de l'activité physique (baisse de poids), avec une sensibilisation et un programme d'éducation continu peuvent fortement diminuer la prévalence du diabète. C'est ce qu'a notamment montré, selon l'OMS, une expérience chinoise conduite sur six ans au sein d'une po[CENSORED]tion sensible, qui a réduit de près des deux tiers l'apparition de cas de diabète.[réf. souhaitée] De telles mesures sont lourdes mais très rentables à long et moyen termes si elles sont appliquées à toute une po[CENSORED]tion. Des conséquences secondaires positives concerneront de plus l’obésité, les maladies cardio-vasculaires et certains cancers d'origine socio-environnementale.[pertinence contestée] Chez les patients ayant déjà développé un diabète, divers moyens existent d'en diminuer les impacts : le traitement précoce de l’hypertension artérielle et de l’hyperlipémie, le contrôle de la glycémie (antidiabétiques oraux pour le diabète de type II et insuline pour le diabète de type I) réduisent les complications et freinent l'évolution vers les formes graves de diabète. La détection et le traitement précoces de la protéinurie limitent ou freinent l'évolution vers l'insuffisance rénale ; la prévention de l'ulcération des pieds par une éducation et des soins appropriés divise par deux l’incidence des amputations (source OMS) ; le dépistage et le traitement précoces des rétinopathies évitent nombre de cécités et diminuent les coûts globaux (dont indirects et immatériels) du diabète ; une lutte plus efficace contre le tabagisme et l'alcoolisme, facteurs d'aggravation du diabète (hypertension et cardiopathie) est également recommandée par l'OMS. De nouvelles expériences sont menées à travers les jeux vidéo (tel que l'Affaire Birman et Time-out) pour aider les diabétiques à gérer leur maladie et à développer de bons réflexes. De plus la société Google a lié un partenariat avec le groupe Novartis afin d'accélérer le développement de lentilles de contact connectées. Celles-ci permettront, à l'aide de microprocesseurs miniaturisés, de suivre en temps réel l'évolution de la glycémie du porteur et de l'alerter en cas de besoin25. Une bonne hygiène de vie et quelques précautions permettent aux adultes et enfants diabétiques de mener une vie normale[réf. souhaitée] : contrôler sa glycémie (savoir gérer son hypoglycémie et son hyperglycémie) et faire doser régulièrement l'hémoglobine glycosylée (ou glyquée) ; porter un bracelet d'identification et d'alerte médicale et une carte d'identification médicale mentionnant son diabète ; s'abstenir de fumer et de boire de l'alcool ; faire de l’exercice physique.
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Le Grand Prix automobile de Turquie est une course du championnat du monde de Formule 1 dont la première édition eut lieu le 21 août 2005. Cet évènement a lieu sur le circuit moderne d'Istanbul Park conçu par le célèbre ingénieur allemand Hermann Tilke. Ce tracé est le troisième à être parcouru dans le sens anti-horaire avec le circuit Autodromo Enzo e Dino Ferrari à Imola en Italie et l'Autodromo José Carlos Pace à Interlagos au Brésil. Tilke a dessiné ce circuit de manière à suivre les contours du terrain fait de montées et de descentes. Ceci contraste fortement avec la plupart des autres tracés modernes pour lesquelles la topographie ne permet pas de telles variations. Le premier virage est très similaire à celui de l'Autodromo José Carlos Pace et peut être comparé au « tire-bouchon » (corkscrew) de Laguna Seca. Il y a aussi un coude sur une portion plane très similaire au virage de l'eau rouge du Circuit de Spa-Francorchamps (Certains l'appellent d'ailleurs ironiquement « Faux Rouge »). Le virage 8 est probablement le meilleur du circuit. Il s'agit d'une suite de quatre virages rapides dans lesquelles le pilote subit une force de 5 G (5 fois la force de la gravité) pendant 4 secondes. Beaucoup de pilotes le considèrent comme étant très délicat à négocier. À cause du caractère très exigeant du circuit, l'édition 2005 fut très animée de nombreux pilotes étant partis à la faute durant ce week-end en essayant d'aller au-delà des possibilités de leur monoplace en particulier dans le virage 8. Ainsi, Juan Pablo Montoya perdit le contrôle de sa voiture à deux tours de l'arrivée en tentant de prendre un tour à Tiago Monteiro. Ceci permit alors Fernando Alonso de prendre la deuxième place derrière Kimi Räikkönen, un événement qui aura une influence importante pour la lutte au championnat du monde alors à son apogée. Lors de la cérémonie du podium de 2006, le trophée du vainqueur fut remis à Felipe Massa par Mehmet Ali Talat présenté alors aux spectateurs comme étant le président de la République turque de Chypre du Nord, un état qui n'est reconnu que par la Turquie. La FIA annonça aussitôt qu'elle ouvrait une enquête dans le cadre d'une infraction à la politique de neutralité qui incombe aux organisateurs. L'identité de la personne qui devait remettre le trophée avait été communiquée à la dernière minute, ne laissant ainsi pas le temps de mettre son véto à ce choix. Cet évènement fit dire à certains commentateurs que le futur du GP de Turquie était remis en cause avec de surcroît une suppression de la manche turque du Championnat du monde des rallyes. Finalement, seule une amende de 5 millions de dollars sera infligée1. La compagnie pétrolière Turque Petrol Ofisi est le sponsor principal de l'épreuve à partir de 2006. De 2006 à 2008, le nom officiel de l'évènement est Petrol Ofisi Turkish Grand Prix. En 2009, c'est la banque Néerlandaise ING présente désormais en Turquie après le rachat d'Oyak Bank (ancienne banque Turque) qui sponsorise le Grand Prix de Turquie et le nom officiel devient ING Turkish Grand Prix. Fin 2009, ING se retire de la F1, le GP prend alors le simple nom de Turkish Grand Prix.
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Cet article fournit des informations sur l'économie du Venezuela. Le Venezuela est un pays situé au nord de l'Amérique du Sud. Il dispose des plus importantes réserves de pétrole mondial, et les exportations pétrolières de la compagnie d'État PDVSA assurent 95 % des exportations et 50 % du PIB. Depuis 2012, le pays est confronté à une grave crise économique due notamment à la baisse du prix du pétrole de 2014 à 2016 mais aussi à la politique économique menée par Hugo Chávez. La principale activité économique est l'exploitation et le raffinage du pétrole pour l'exportation et la consommation intérieure. Le secteur pétrolier domine l'économie avec à peu près un tiers du PIB, 85 % des bénéfices à l'exportation6 et 43 % des revenus du gouvernement7. Le pétrole est la ressource naturelle la plus abondante; elle est traitée par la société pétrolière nationale PDVSA depuis 1975. Son exploitation officielle commence dès 1875 dans l'État de Táchira. À partir de 1922commence l'exploitation pétrolière à grande échelle, déclenchant bien des évènements qui changeront la marche du pays. C'est, entre autres, à l'initiative du Venezuela que fut fondée l'OPEP. Cette dépendance de l'économie au pétrole participa à une importante crise financière en 1994, aggravée par la récessionde 1993. Alors que le taux de progression moyen du PIB PPA (parité de pouvoir d'achat) dans le monde entre 1990 et 2002 était de 57 %, le Venezuela est l'un des rares pays où celui-ci a baissé en passant de 6 169 dollars par habitant en 1990 à 5 380 dollars en 2002 et 4 740 $ en 2003. Plus de 80 % des Vénézuéliens vivent dans la pauvreté en 19998 . En 1999, l'économie nationale avait régressé de 7,2 %. Un effondrement des cours pétroliers durant la première moitié de l'année, jusqu'à 10 dollars le baril, avait accéléré la récession, et amené le gouvernement de Chávez à contacter les autres pays membres de l'OPEP afin de réduire la production mondiale et faire remonter le cours du baril. En mars 1999, la réunion de La Haye permet la réduction de 4 % des quotas pétroliers de l'Oman, la Russie (non membre de l'OPEP), le Mexique (non membre de l'OPEP) et l'Arabie saoudite. Les cours du pétrole remontent. En 2001, la croissance du Produit intérieur brut ou PIB fut de 2,7 %. Une augmentation significative des prix internationaux du pétrole a permis de sortir l'économie de la forte récession subie durant l'année 1999. Le secteur non pétrolier relativement faible, une fuite intense des capitaux, une chute temporaire des prix du pétrole et les tentatives de déstabilisation du gouvernement ont empêché que la récupération soit plus forte. En 2002, le régime des changes a été changé par le gouvernement, passant d'un régime à taux libre flottant vers un régime à taux fixe contrôlé par le gouvernement, ce qui fit se déprécier considérablement la monnaie, le bolivar. En 2002 et 2003, en conséquence d'une importante instabilité politique et d'un coup d'État organisé par l'opposition au gouvernement, de la grève générale et du sabotage de la principale entreprise pétrolière nationale PDVSA, l'économie vénézuélienne subit une forte chute de son PIB de l'ordre de 8 %. Le 3 mars 2005, la monnaie a été dévaluée face au dollar américain, le taux de change officiel passant de 1.920 à 2.150 bolívars par dollar. En 2005 le Venezuela a présenté une balance déficitaire d'exportations non-traditionnelles (c.-à-d. hormis le pétrole) par rapport à celle d'importations. En général, le Venezuela est un pays qui dépend des importations, y compris les produits alimentaires de base. Le 30 septembre 2005, Chavez a annoncé que le Venezuela retirait une partie de ses réserves de devises étrangères des banques américaines pour les placer en Europe. La croissance de l'économie en 2005 a été de 9,4 % du PIB. Cependant, les experts internationaux en économie estiment que la demande se situe à 20 %, donc la croissance de l'économie se fonde en grande partie sur les dépenses publiques et la consommation du secteur privé, ce qui explique les phénomènes observées d'ores et déjà. L'inflation est estimée à 17 %, la plus élevée du continent, selon les chiffres de la Banco Central de Venezuela (BCV) et du CEPAL. Les réserves internationales en devises ont atteint 25 milliards de dollars en 2006, et 29 milliards de dollars en 2007. Le gouvernement a fait baisser les réserves d'un coup de 12 milliards de dollars dans une période de six mois seulement face à des tensions spéculatives sur la monnaie nationale. Avec les cours élevés des produits pétroliers (principal produit d'exportation) et la nouvelle politique pétrolière que le gouvernement met en place, le journaliste Teodoro Petkoff, analyste de la société et de l'économie vénézuélienne, prévoit pour les prochaines années un grand désastre social et économique: le phénomène d'hyperinflation, la dollarisation de l'économie, et la dévaluation du Bolivar, sont entre autres les scénarios à venir, selon lui, si la nouvelle Constitution proposée par Chavez est approuvée. D'autres analystes à l'image de Luis Britto Garcia ont une opinion complètement contraire et prévoient que le rythme de croissance élevé actuel du Venezuela pourra se maintenir. Mais cette croissance est déséquilibrée, elle est due surtout à l'accroissement des dépenses publiques qui dépasse le tiers du PIB en 2006 qui a vu l'inflation augmenter et dépasser les 15 %9. Cependant, cette croissance même déséquilibrée aura des effets bénéfiques à long terme en raison des fortes dépenses consenties en matière d'éducation et de santé. Les annonces du président Chavez au début de janvier 2007 concernant la re-nationalisation des compagnies de télécommunications et d'électricité (privatisés depuis environ une décennie), la fin de l'indépendance de la banque centrale et une révolution socialiste ont fait chuter la bourse de Caracas de 19 % le 9 janvier 200710. Le phénomène est comparable aux évolutions de la bourse lors de la campagne présidentielle de Lula. Le 8 janvier 2007, lors d'un discours, Hugo Chavez a critiqué l'indépendance de la banque centrale, qui ne l'est que du gouvernement politique élu et pas du FMI. Il a aussi dénoncé le fait qu'avant son intervention, la plupart des réserves internationales étaient placées dans des banques américaines à un taux d'intérêt de 3 % et que sur cet argent, les mêmes banques accordaient des crédits au Venezuela avec des taux d'intérêt de 8 à 10 %, accusant au passage l'élite en place avant lui d'être parfaitement au courant de cet état de fait11. Le 30 avril 2007, Hugo Chavez annonce le retrait du Venezuela du FMI (dont le pays a remboursé tous ses emprunts en avance grâce aux rentrées d'argent dues à l'exploitation pétrolière) et de la Banque mondiale. Il a également annoncé le jour d'avant que « l'Amérique latine en général irait mieux sans la Banque mondiale et le FMI, soutenus par les États-Unis »12. La hausse régulière des cours du pétrole jusqu'au milieu de l'année 2008 a été une aubaine pour le Venezuela. 93 % des exportations vénézuéliennes, qui ont généré 99,923 milliards de dollars en 2008, sont issues du secteur pétrolier. Les importations se sont élevées en 2008 à 47,601 milliards de dollars selon des chiffres préliminaires. En 2008, la croissance du Produit intérieur brut (PIB) s'est élevée à 4,9 % contre 8,4 % en 2007, et l'inflation a atteint 30,9 %. (Record d'inflation pour l'Amérique Latine pour la troisième année). A Caracas, le prix des aliments[précision nécessaire] ont augmenté de 51,4 % . En 2009, le gouvernement a estimé que la croissance grimperait à 6 % et l'inflation à 15 % mais si le baril de brut se maintient à 40 dollars, ce qui n'est pas le cas, et que le Venezuela en vend à l'étranger quelque 2,3 millions de barils par jour à ce prix, il réalisera alors 32,580 milliards de dollars de recettes en 2009. Ce montant ne suffira pas à couvrir le coût de ses importations élémentaires13. Le 8 janvier 2010, le bolivar est dévalué pour lutter contre l'inflation et un double taux de change est institué avec le dollar pour favoriser l'industrie locale14. La croissance a atteint 4 % en 2011. Presque tous les secteurs d'activité ont enregistré une hausse notamment celui prioritaire pour le président Chavez, le logement social. La nationalisation du secteur des pétroles est un choix aussi idéologique que stratégique. La ressource, dont les réserves de la région de l'Orénoque seraient énormes, représente 30 % du PIB et 85 % des exportations. PDVSA détient alors 60 % des projets menés par Petroleum PLC, américaines ExxonMobil, Chevron, ConocoPhillips, la française Total et Statoil Les secteurs des télécommunications et de la production d'électricité ont également été nationalisés. Les sociétés refusaient par exemple d'investir dans des régions jugées peu rentables. Au début de l'année 2008, le gouvernement vénézuelien annonce la nationalisation très prochaine de la production de ciment15, montrée comme une réponse au choix des sociétés étrangères d'exporter une partie de leur production en situation de pénurie de logements. En 2010, le commerce de détail est nationalisé, avec la chaîne Exito détenue par le groupe français Casino16 accusée de contribuer à la hausse des prix. La filiale locale de l'américain NorPro, fabricant un produit pour les forages pétroliers est étatisée et intégrée à l'entreprise publique PDVSA. Le groupe sidérurgique italien TenarisDalmine est exproprié de ses actifs, n'ayant trouvé un accord financier avec le gouvernement17. Après 2003, à la faveur de l'augmentation des prix des hydrocarbures, d'un climat politique plus détendu et de la reprise en main de PDVSA, le Venezuela a connu un taux de croissance du PIB de 13,5 % en moyenne jusqu'en 2009 (un des plus hauts du monde, selon les chiffres officiels et ceux du FMI)18. Les investissements sociaux du gouvernement (par le biais des misiones) dans les domaines éducatifs, alimentaires et médico-sanitaires, créées depuis 2001 commencent à porter leurs fruits : le taux de pauvreté est réduit entre 2003 et 2008 de près de 30 points (de 54 % à 26 %), dont une diminution particulièrement significative de l'extrême pauvreté de 72 %18, tandis que près de 1 250 000 personnes ont été alphabétisées entre 2003 et 2004 selon les chiffres de la BCV (Banco Central de Venezuela)[réf. nécessaire]. Ces progrès sociaux s’accompagnent aussi d'une réduction des inégalités mesurées par l'indice de Gini18. Le PIB par habitant en PPA est passé entre 2003 et 2008 de 5 033 à 8 500 dollars selon les chiffres du FMI (estimation), et de 5 500 à 8 500 $ entre 1999 et 2008 (est.). La crise économique de 2008 et l'effondrement soudain du cours des matières premières ont conduit à une faible croissance et une inflation forte. La forte inflation (30,9 % en 2008) a affecté la po[CENSORED]tion durant cette période, mais le maintien des cours du pétrole et des volumes d'exportation ont permis à l'économie de se maintenir. Le PIB a été multiplié par cinq entre 1999 et 2014, passant de 98 milliards à 482 milliards de dollars19.
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Africa is the second largest continent in the world. It makes up about a fifth of the world's land.It is surrounded by large areas of water. There are 54 fully recognised and independent countries in Africa, and 14.7% (1.216 billion) of the world's po[CENSORED]tion lives there.It is thought to be the continent where the first humans evolved. The history of Africa begins from the first modern human beings and leads to its present difficult state as a politically developing continent. Africa's ancient historic period includes the rise of Egyptian civilization, the further development of societies outside the Nile River Valley and the interaction between them and civilizations outside of Africa. In the late 7th century North and East Africa were heavily influenced by the spread of Islam. That led to the appearance of new cultures such as those of the Swahili people, and the Mali Empire, whose king, Musa Keita I, became one of the richest and most influential people of the early 14th century. This also led to an increase in the slave trade that had a very bad influence for the development of the whole continent until the 19th century. Further information: African slave trade and Arab slave trade Slavery has long been practised in Africa.Between the seventh and twentieth centuries, the Arab slave trade took 18 million slaves from Africa via trans-Saharan and Indian Ocean routes. Between the fifteenth and the nineteenth centuries (500 years), the Atlantic slave trade took an estimated 7–12 million slaves to the New World. Between 1808 and 1860, the British Navy captured approximately 1,600 slave ships and freed 150,000 Africans who were aboard. In the late nineteenth century, the European powers occupied much of the continent, creating many colonial and dependent territories. They left only three fully independent states: Darwiish State, (also spelled Daraawiish State), Ethiopia (known to Europeans as "Abyssinia"), and Liberia. Egypt and Sudan were never formally incorporated into any European colonial empire. However, after the British occupation of 1882, Egypt was effectively under British administration until 1922. Modern history[change | change source] African independence movements had their first success in 1951 when Libya became the first former colony to become independent. Modern African history has been full of revolutions and wars as well as the growth of modern African economies and democratizationacross the continent. A civil war in the Democratic Republic of the Congo (formerly Zaire) began in 1998. Neighbouring African countries have become involved. Since the conflict began, 5,5 million are estimated to have died because of it. Political associations such as the African Union offer hope for greater co-operation and peace between the continent's many countries.
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A number of lifestyle factors are known to be important to the development of diabetes mellitus type 2 including: obesity, physical activity, diet, stress, and urbanization.Excess body fat underlies 64% of cases of diabetes in men and 77% of cases in women.A number of dietary factors such as sugar sweetened drinks.and the type of fat in the diet appear to play a role. In one study, those who had high levels of physical activity, a healthy diet, did not smoke, and consumed alcohol in moderation had an 82% lower rate of diabetes. When a normal weight was included, the rate was 89% lower. In this study, a healthy diet was defined as one high in fiber, with a high polyunsaturated to saturated fat ratio, lower trans fats consumption, and a lower mean glycemic index. The composition of dietary fat intake is linked to diabetes risk; decreasing consumption of saturated fats and trans fatty acids while replacing them with unsaturated fatsmay decrease the risk. Sugar sweetened drinks appear to increase the risk of type 2 diabetes both through their role in obesity and potentially through a direct effect. Obesity has been found to contribute to approximately 55% of cases of type 2 diabetes;chronic obesity leads to increased insulin resistance that can develop into type 2 diabetes, most likely because adipose tissue (especially that in the abdomen around internal organs) is a source of several chemical signals, hormones and cytokines, to other tissues. Inflammatory cytokines such as TNFα may activate the NF-κB pathway which has been linked to the development of insulin resistance.Gene expression promoted by a diet of fat and glucose, as well as high levels of inflammation related cytokines found in the obese, can result in cells that "produce fewer and smaller mitochondria than is normal," and are thus prone to insulin resistance.[unreliable medical source?] Fat tissue has also been shown to be involved in managing much of the body's response to insulin and control of uptake of sugar.It secretes RBP4 which increases insulin resistance by blocking the action of insulin in muscle and liver.Fat cells also secrete adiponectin which acts in an opposite way to RBP4 by improving the action of insulin, however, engorged fat cells secrete it in lower amount than normal fat cells.The obese therefore may have higher level of RBP4 but lower level of adiponectin, both of which increase the risk of developing diabetes. However, different fat tissues behave differently. Visceral fat, which is found around organs such as the intestines and liver, releases signalling molecules directly into blood heading into the liver where glucose is absorbed and processed, while subcutaneous fat under the skin is much less metabolically active. The visceral fat is located in the abdomen in the waist region, large waist circumference and high waist-to-hip ratio are therefore often used as indications of an increased risk of type 2 diabetes. The increased rate of childhood obesity between the 1960s and 2000s is believed to have led to the increase in type 2 diabetes in children and adolescents. Studies have shown that a reduction in sleep is associated with a significant increase in the incidence of type 2 diabetes. This could account for the increased incidence of diabetes in developed countries in the last decades, since "the causes of this pandemic are not fully explained by changes in traditional lifestyle factors such as diet and physical activity",and "one behavior that seems to have developed during the past few decades and has become highly prevalent, particularly amongst Americans, is sleep curtailment". Research also suggests intrauterine growth restriction (IUGR) or prenatal undernutrition (macro- and micronutrient) as another probable factor.Studies of those who were small or disproportionately thin or short at birth, or suffered prenatal exposure during period of famine such as the Dutch Hunger Winter (1944–1945) during World War II, have shown that they are prone to higher rates of diabetes. Environmental toxins may contribute to recent increases in the rate of type 2 diabetes. A weak positive correlation has been found between the concentration in the urine of bisphenol A, a constituent of some plastics, and the incidence of type 2 diabetes.